Compartiment de jour
Datte: 21/03/2021,
Catégories:
fh,
jeunes,
couleurs,
asie,
inconnu,
fépilée,
vacances,
train,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
fsodo,
... quelconque sous-vêtement ! Ai-je la berlue ? Ma voisine en provenance de l’Empire du Soleil Levant ne porterait-elle pas de culotte ? "La salope !" comme aurait dit en son temps Guy Bedos. Non, je n’ai pas la berlue… j’entraperçois son berlingot. Le geste a-t-il échappé à mon voisinage ? N’est-il destiné qu’à ma petite personne ? Sous le coup de l’étonnement et avec une certaine émotion qui me fait tressaillir, imperceptiblement, je tourne ma tête de droite et de gauche pour constater que mes voisins ne continuent à s’intéresser qu’au monde minéral qui nous entoure. Alors, je reviens directement planter mes yeux dans ceux de la jeune Nipponne. Durant quelques longues minutes, nous restons ainsi, dans une sorte de joute, de défi, de jeu : les yeux dans les yeux. Bien sûr, mon regard redescend – presque automatiquement – vers sa jupe qu’elle a sagement rabattue sur ses genoux. Et son regard accompagne le mien. C’est certain, elle a compris – volontairement ou non – que j’ai trouvé la vue qu’elle venait de m’offrir, à mon goût et que … j’en reprendrais bien un petit peu… Puis son regard remonte se fixer au mien. Impénétrable et rieur. En vision marginale, je vois son genou relevé, l’ourlet de sa jupe, le pan retenu par l’épingle. Je surveille ses mains, pour l’instant, sagement posées sur ses genoux. Des mains qu’elle bouge avec lenteur et qui s’emparent du bord du kilt, le relèvent légèrement pour venir caler le second pied entre ma cuisse et celle de ma grosse voisine. Au ...
... passage, elle me permet ainsi de mieux contempler et me repaître de son entrejambe, nu, ouvert et dont elle m’expose "sadiquement" l’étalage. Malgré l’ombre de la jupe, je peux parfaitement voir le renflement formé par son sexe et ses lèvres, légèrement plus sombres et fines. Au-dessus, le départ d’une courte toison pubienne. La bougresse ! Elle est épilée et doit entretenir avec soin sa fourrure… Mon sang ne fait qu’un tour… mon sexe se dresse dans mon pantalon, plus dur que les séracs que nous traversons… mais moi, je ne suis pas de glace. Avec discrétion, elle rabaisse sa jupe et m’offre un nouveau grand et large sourire de contentement ou de connivence ? Je ne sais comment l’interpréter et n’ai pas les moyens immédiats de m’interroger à ce propos car déjà, la gare terminus est là. Elle reprend sa position assise et, alors que tout le monde se lève pour débarquer, dans une joyeuse pagaille, ma grosse voisine dans son élan et sa précipitation me bouscule et me pousse sur la jeune japonaise. Dire que je lui tombe dans les bras, serait la moindre des politesses. En fait, je l’écrase sous mon poids, mais au lieu de protester, de se récrier, elle prend la chose en riant… Au passage, j’en profite (honteusement, je vous l’accorde) pour respirer son odeur de lavande et de savonnette d’hôtel et j’apprécie le moelleux et le confort de sa poitrine et de son épaule. Mes mains, pour conserver le peu d’équilibre qui me reste, se sont largement posées sur ses cuisses et s’y appuient ...