Ma première histoire lesbienne (1)
Datte: 21/03/2021,
Catégories:
Lesbienne
En stage à pôle emploi à Bordeaux, un soir d’été après les cours j’avais une petite soif et m’installe à l’intérieur climatisé d’un café place de la gare. Sur la même banquette que moi je ne remarque pas particulièrement une jeune femme le nez plongé dans un bouquin. Je commande ma boisson tout en pensant à ma journée. Soudain, ma voisine fait tomber son stylo, se baisse pour le ramasser et je sens sa main se poser ostensiblement et avec insistance sur ma jambe puis ma cuisse, comme une caresse. La jeune femme me regarde en s’excusant, se lève et se dirige vers la sortie. Je remarque une allure féline drapée dans une robe très courte dévoilant de belles jambes gainées de noir. Prise dans mes pensées, je revois le film « la vie d’Adèle » et sent monter en moi un désir indéfinissable et inhabituel. Rentrée à mon hôtel, en m’apprêtant à prendre ma douche, je sens que mon slip est abondamment mouillé ce qui m’excite et me donne envie de me masturber. Je m’approche du coin de ma table de travail et me frotte langoureusement la chatte au niveau de mon clito. Je mouille de plus en plus, empoigne un paquet de crayons et me les enfourne jusqu’à ce que le va et vient me déclenche un orgasme qui me fait crier de plaisir. Me revient alors l’image et la sensation de cet après-midi au café. Je ne pense plus qu’à retrouver cette femme et imagine la suite. Le lendemain à la même heure je me rends au même endroit qu’hier. Elle est là. Je la salue d’un bonjour timide et m’assoie à la même ...
... place à côté d’elle. Après avoir passé ma commande au garçon, il me vient la même idée du stylo mais cette fois c’est moi qui agit. Je me baisse pour ramasser et pose ma main sur sa cuisse. Le contact avec cette jambe gainée de soie me fait immédiatement de l’effet et je sens que ma chatte s’humidifie à travers mon collant. Aujourd’hui je n’ai pas mis de culotte. Surprise ! ma voisine, sans me regarder saisit ma main fermement et la fait remonter vers le haut de ses bas. Elle me fait progresser vers son entrejambe et là, dans une forêt de pilosité, je sens une humidité intense. Je sens que me seins deviennent de plus en plus dures et je me dis » j’ai envie ». Marie, appelons-la comme cela, se penche vers moi et me chuchote : « viens chez moi. » Je lui réponds « pas aujourd’hui, j’ai un rendez-vous dans une heure mais j’ai trop envie, suis moi dans les toilettes. » Nous nous dirigeons toutes les deux vers le lieu indiqué. Nous choisissons la cabine pour handicapés car elle offre plus d’espace et de commodités. La porte refermée, Marie me plaque contre la cloison, nos bouches se cherchent et se fouillent rageusement. La main droite de Marie remonte mes collants trempés de mouille et d’un coup sec perce un orifice au niveau de mon clito. Elle me branle et de son autre main, me pétri un sein en faisant glisser mon soutiens gorge. Non lui dis-je, pas tout de suite, j’ai envie que tu m’excites en te branlant sur la cuvette, je me branlerai en même temps et tu me boufferas après quand ...