1. Strip tease du controle partie 01


    Datte: 29/06/2017, Catégories: Contrôle Mental,

    ... pattes. A genoux. A plat ventre. Aboie maintenant » Comme je l'ai dit, mon corps obéissait plus à ses ordres qu'à mes pensées, et tout gêné que j'étais (en fait, j'étais mortifié, et apeuré aussi), j'ai suivi chacun de ces ordres, j'ai aboyé avec zèle. « Waou! S'écria Valérie. C'est vraiment impressionant! Et encore, tu n'as pas tout vu, ma chère Valérie. En me regardant, elle ajouta: tu veux te mettre debout, Sacha? » Comme je fis signe que oui, me disant que mon calvaire allait peut-être prendre fin avec soulagement, elle dit « eh bien vas-y ». Impossible. Je n'ai pas pu. Le plus haut que je sois arrivé était à genoux, le dos droit mais le genoux rivés au sol. Je les entendis glousser, se moquer de moi, c'était terriblement humiliant. Maitresse Linda dit à Valérie: « eh oui, dans notre maison, il ne peut pas se mettre en position debout quand je suis là. Elle gloussa de plus belle, de même que valérie. Et regarde comme ça l'excite! » C'était vrai, ma bite était plus dure que jamais, je ne comprenais pas ce qui m'arrivait. « Attends, attends, j'ai gardé le meilleur pour la fin, dit Maitresse Linda, regarde. Brave Sacha. » A ces mots, je sentis ma bite se durcir encore plus, au point d'en devenir douloureuse. « Vilain Sacha ». A ces mots là, ma bite redevint molle, toute petite, minuscule, elle semblait se ratatiner. « Brave Sacha ». De nouveau dure. « Vilain Sacha ». Toute molle. « Brave Sacha » Valérie se tenait le ventre tellement elle riait, littéralement pliée de rire à ...
    ... ne plus pouvoir s'arrêter. Maitresse Linda dit alors: « Allons dans le salon pendant qu'il nous prépare le thé, je te parlerai de mes projets le concernant, et si tu as des idées, elles seront les bienvenues ». Elles allèrent dans le salon, hilares, pendant que je préparai le thé. Chapitre deux: la « merveilleuse » idée de Valérie. J'eu beaucoup de mal à ne rien renverser, le thé, le lait, les petits gateaux sur un plateau en leur apportant toujours à quatre pattes. Je les entendai rire. Quand j'ai eu fini de tout poser sur la table, Maitresse Linda me gratifia d'une petite gratouille derrière l'oreille, et une sensation de plaisir intense, aussi intense que brève, parcourut tout mon corps. « Oh, attends, j'ai une super idée, dit Valérie, mais il ne faudrait pas qu'il l'entende ». Maitresse Linda opina du chef et d'un petit geste de la main, elle me congédia. Mon corps m'emmena dans la cuisine, à quatre pattes bien entendu, et je me retrouvai pétrifié au milieu de la cuisine, le dos aussi cambré que possible, à la limite de la douleur, la bouche ouverte, la tête et le regard fixé sur la fenêtre. Sur la fenêtre ouverte!!! Et j'étais toujours incapable de bouger! Que se passerait-il si quelqu'un passait et regardait? On se moquerait encore de moi, c'est sûr, peut-être qu'on me montrerait du doigt... J'en tremblais intérieurement. Des rires me parvinrent du salon, et j'entendis la voix de Maitresse jubiler « oh oui oh oui oh oui! Excellent! Et que dirais-tu de... » Oh oui oh oui ...