La surprise - Histoires de Sexe

La surprise

Encore une vibration ! Estelle venait de lui envoyer un autre SMS. En tentant de garder son calme et de ne rien montrer de son excitation au reste de sa famille attablée pour le repas traditionnel, Olivier attrape son téléphone. Fébrilement, il relit le dernier SMS resté affiché sur son portable: « Mes lèvres coulisseront sur ton sexe en érection. » Malgré la douleur dans son bas ventre, la faute à son boxer trop tendu, Olivier ouvre le dernier message : « Tu déverseras ton sperme au fond de ma gorge… » C’en était trop, son sexe se tendit à l’extrême et il s’en fallut de peu pour qu’il jouisse à l’instant où il lut le message. Tant bien que mal, il essaye de reprendre ses esprits et réussit à lui envoyer un message : « Arrête car je vais te sauter dessus dès mon retour ! » Une nouvelle vibration : « Ne rentre pas trop tard car j’ai réservé au resto. Viens me chercher chez Sandrine. J’ai une surprise pour toi… » Une surprise ? Le reste du repas semble passer au ralenti tellement le jeune homme était impatient d’aller chercher Estelle. Quand il prit enfin la route, il lui semblait conduire comme un robot tellement son esprit était occupé par des images d’Estelle dans des situations de plus en plus chaudes. Paris, enfin une place, il gare la voiture devant l’immeuble de Sandrine. Fébrilement, il trouve l’interphone et appuie sur le bouton. — Oui ? lui répond le haut-parleur.— C’est moi !— Ah oui ? Le monsieur qui veut me sauter dessus et me mettre son sexe au fond de la gorge… ...

... Et voilà, de nouveau cette terrible érection qui lui fait mal. — Je vous ouvre ! Olivier entre dans l’immeuble et appuie sur le bouton de l’ascenseur. Trop long, il décide de monter à pieds les deux étages qui le séparent d’Estelle. Voilà la porte, la sonnette. Quelques secondes se passent et il entend le verrou tourner. La porte s’ouvre et la femme qui l’attend lui dit d’une voix chaude : — Bonjour, toi. Pétrifié sur place, Olivier observe la jeune femme. Elle est là, devant lui presque nue, enfin non, pas tout à fait. Elle porte des talons aiguilles noirs lacés au niveau des chevilles, ses jambes sont gainées de bas noirs tenus par un porte-jarretelles de la même couleur. En dessous, elle porte un petit string transparent qui laisse apparaître les poils pubiens. Ceux-ci semblent mouillés par l’excitation, il le jurerait. Son ventre blanc contraste avec la couleur de ces sous-vêtements. Un soutien-gorge pigeonnant compresse son 95C vers le haut. Les escarpins lui donnent une allure très féminine, presque « chienne » pense Olivier. Elle regarde avec ses yeux superbement maquillés, son rouge à lèvres donne à sa bouche une tournure très pulpeuse. Les pensées d’Olivier deviennent de plus en plus crues sans qu’il puisse les contrôler : « Elle a une bouche à tailler des pipes à la chaîne… » se met-il à rêver. — Alors, tu rentres ou tu restes sur le pallier ? lui demande-t-elle avec un sourire.— …— Bon et bien je vois qu’il faut que je prenne les choses en mains ! D’une main elle ...