... Et songes
Datte: 22/03/2021,
Catégories:
fh,
couple,
extracon,
inconnu,
essayage,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Frédéric se décide enfin et s’agenouille, son membre légèrement détendu pendant au bas de son ventre. Il ferme les yeux, il s’est assez repu de cette vision indécente à souhait, qui certes a plus que comblé ses désirs, mais aussi dérangé sa pudeur naturelle. Il n’aurait pas osé aller si loin. Elle est bien plus forte que lui, il n’en doute plus. Lentement, il approche son visage de cet univers qu’il adore par-dessus tout et qui constitue à chaque fois une véritable découverte. Son épouse ne lui laisse pas trop l’occasion de venir batifoler dans son vagin, même si cette caresse folâtre et sauvage la comble toujours. Tout d’abord, il renifle longuement cet espace de chair qui dégage un parfum très fort, corsé, qui le captive et l’obsède immédiatement. Il ne sait pas trop à quoi il lui fait soudainement penser, mais il s’en imprègne complètement, saoulé par cet effluve mystérieux. Il ouvre à nouveau les yeux et distingue à deux - trois centimètres de son visage, la petite masse luisante du clitoris, bien développée, petite excroissance semblable à un morceau d’ivoire poli à la couleur passée, à peine sortie de sa gangue. Il ressent aussitôt une envie urgente de plaquer sa bouche sur la totalité de la surface de la vulve d’Adeline, pour en absorber sans plus tarder le contenu qu’il voit sourdre. Frédéric se fait violence, n’a-t-elle pas su avec intelligence et une certaine langueur prendre son temps avant de lui faire connaître l’extase d’une sensation agréable et inoubliable. ...
... Il n’abordera cette caverne qu’en dernier se jure-t-il. Qu’il en fasse d’abord le tour et le siège ! Il dépose donc sur l’intérieur des cuisses des baisers légers, partant de la pliure des genoux jusqu’à s’approcher dangereusement de l’entrejambe impatient de sa venue. Après ces premiers contacts du bout des lèvres, presque inexistants, mais qui lui ont permis de ressentir les tremblements qui parcourent les jambes de la jeune femme, il entre en action avec sa langue. Il la promène le long de la peau tiède et tendre, s’arrêtant, dès que ses joues entrent en contact avec la toison. Adeline respire doucement. Elle a réussi à dominer le premier assaut de son désir. Elle croit qu’elle va pouvoir retarder au maximum la vague qu’elle sent grossir au creux de son ventre, enfin, elle le souhaite ardemment. Il prend son temps, très bien, que l’exploration minutieuse qu’il mène, demeure pour lui un souvenir intarissable. Que tous ces millimètres de chair s’impriment dans l’esprit de cet homme. Frédéric, afin de s’appliquer au mieux, vient plaquer ses mains sur la taille de la jeune femme, provoquant chez elle un mouvement de recul, mais ainsi arrimé, il devine mieux l’impatience du corps d’Adeline, cette vie intérieure qui traduit comment elle le ressent à chaque attouchement. Ses doigts parviennent à la base des seins, pierres rondes figées dans leur douleur d’être abandonnées depuis de longues minutes. Elle vibre, elle s’ouvre encore plus, écartelée, repoussant au plus loin ses jambes ...