Qui l'eût cru ?
Datte: 22/03/2021,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
odeurs,
Oral
totalsexe,
bourge,
... veux que je te montre comment je suce ?— Bah, pourquoi pas ? Qu’est-ce qui me prend ? Je deviens taré ou quoi ? À peine répondu qu’elle rapproche sa chaise de bureau vers moi et s’attaque à ma ceinture. Je me recule en lui ôtant les mains. — Arrête, Corinne, je n’aurais pas dû dire ça.— Allez, laisse-toi faire, je vais te tailler une pipe royale.— Non, c’est bon.— Je vais te bouffer la queue comme jamais on te l’a bouffée. Je ne m’attendais pas à entendre Corinne me parler comme ça. Ça m’a troublé, et d’un coup je me suis rendu compte que j’avais envie qu’elle me suce la bite. Ne voyant plus de résistance elle a repris l’assaut de ma braguette. Le temps que je réfléchisse à tout ça, me voilà le pantalon et le caleçon sur les chevilles. Corinne prend ma queue à pleine main et colle son nez dessous. Je la vois qui me renifle la bite à pleins poumons. D’abord la base ; elle remonte et renifle mon gland, colle son nez sous les couilles, et pareil, renifle tout ce qu’elle peut. Première surprise : voilà que la collègue bobo des bas quartiers est une fétichiste des odeurs. — Hum, ça sent bon, une bite, j’adore. Et la tienne sent vraiment très bon. Elle me dit ça les yeux plantés dans les miens en commençant à me branler. Elle regarde ma queue et se passe la langue sur les lèvres comme pour se préparer à savourer. D’abord elle lèche, de haut en bas, le gland, les couilles, sous les couilles, remonte redescend. Quand elle estime avoir léché tout ce qui est possible, elle se décide ...
... à suçoter mon gland. Un vrai aspirateur, cette nana. Ce n’est qu’après cinq bonnes minutes de ce traitement qu’elle se décide enfin à me gober la bite. De haut en bas et sans en perdre un centimètre. Je commence à pousser des râles. — Alors, elle te plaît, la pipe de la coincée ?— Oui, je reconnais que tu sais sucer une queue, toi.— Faut dire qu’elle est bonne, ta queue. Là, elle tire la langue et se la bifle avec ma bite tout en me regardant. Elle me branle et plonge vers mes couilles. Elle les gobe une par une. Putain, que c’est bon ! — Tu es rasé de la bite et des couilles : c’est un appel pour les bouffer, ça.— Oui, vas-y, bouffe-les. Je n’aurais jamais cru dire ça ; mais, putain, c’est vrai qu’elle suce super bien, cette conne. Et voilà que je sens un doigt se faufiler dans ma raie. Hum, une petite olive, j’adore. J’écarte plus les jambes pour lui montrer qu’elle a le feu vert complet de ce côté-là. — Hum, petit cochon, on donne libre accès à sa petite étoile ? Tiens, gobe-moi ça… Et voilà : Corinne, que je ne supporte pas, est en train de me sucer en me mettant un doigt dans le cul. Et j’adore ça. Elle se relève d’un coup, me pousse sur le bureau. — Mets-toi sur le dos, petit cochon, et relève tes jambes. Et vas-y qu’elle me passe la langue entre les couilles et l’anus tout en me branlant. C’est divin. — Tu aimes te faire bouffer le cul, petit salaud ?— Oui, vas-y, j’aime ça. Bouffe-moi le cul. C’est pas possible, elle lit en moi comme dans un livre ! J’adore me faire ...