1. DECOUVERTE D'UN NOUVEAU PLAISIR...


    Datte: 31/10/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Jugeant mes pantalons trop usés, maman avait insisté pour que je passe à tout prix acheter des jeans après le boulot. Pour se faire et pour que cela soit moins pénible, étant austère à fréquenter ce genre de magasin, je choisis de me rendre à la boutique du quartier à deux rue de chez moi. Elle ne payait pas de mine mais avait le mérite d’être tout proche, et en plus peu fréquenté. Une rouquine tenait les lieux. Des petites rides ornaient son visage près des yeux en amande. Une belle poitrine qui tombait un peu. Des hanches solides sous lesquelles s’arrondissaient des fesses cambrées. Elle me gratifia d’un regard de courtoisie de derrière le comptoir. En était au mois de septembre et elle portait une robe longue très légère à fleur de couleur verre bouteille. Le décolleté de sa robe laissait apparaître la forme généreuse de sa poitrine. Plus je le regardais ses contours bombées, moins j’arrivais à décoller mon regard d’elles. Elles m’envoûtaient comme le serait un chien devant un os. - Bonjour, je peux vous aider ? Sa voix était douce et sensuelle. Je lui bredouillai quelque chose d’inintelligible. - Pardon ? me dit-elle. Je n’ai pas compris. - Euh… oui… euh… je cherche un… un jean. - Oui, quelle taille jeune homme ? - Je ne sais pas, je ne la connais pas. Elle me détailla. - Je devine un petit 40. Nous allons si vous le voulez bien essayer un 38. Suivez moi voulez-vous. Je rivais mes yeux sur le mouvement onduleux que produisait son fessier à chacun de ses pas. Elle ...
    ... m’entraîna jusqu’à devant une multitude de pantalons exposés en rayon ou suspendus sur un portique. Elle resta quelques secondes à réfléchir et en prit un puis deux et trois. Tous plus laids les uns que les autres. Maladroitement ou volontairement, elle laissa tomber un vêtement. Comme paralysé, je ne bougeais pas. Alors que la vendeuse, sensuellement, elle se baissa pour se saisir du vêtement. Je ne perdis rien de son décolleté. À la vue de ses merveilles laiteuses, mon cœur s’emballa. Je ne sais pas ce qui me retenait de ne pas y plonger une main. - Je vous propose de les essayer. Fit-elle, en me fixant droit dans les yeux. Avait-elle deviné ma pensée à cet instant là. Toujours en ondulant du popotin, elle me guida jusqu’à une cabine d’essayage. Une fois à l’intérieur, le rideau tiré, je m’étais déshabillé. J’avais enfilé un puis deux. Mais aucun d’eux me ravi au point de les acheter. Trop petit, trop large. De l’autre côté du rideau, la vendeuse attendait et commençait à s’impatienter. Elle m’avait alors demandé : - Vous avez fait votre choix ? - Je… je ne sais pas très bien. Sentant que j’étais toujours aussi indécis, elle s’était proposé : - Vous désirez que je vous aide ? - Oui, je veux bien, si cela ne vous dérange pas. J’avais pour ça écarté complètement le rideau lui faisant face. Après m’avoir regardé un petit moment, la vendeuse me lança : - Sortez que je vous voie à la lumière. Je m’exécutai à demi fagoté dans un pantalon très moulant. - Tournez-vous sur vous-même. Après ...
«1234»