"A genoux..." (4)
Datte: 22/03/2021,
Catégories:
Gay
Cela faisait deux semaines que Jacques et moi avions débuté notre relation ; il s’occupait de mon initiation au sexe entre hommes avec beaucoup d’ardeur, je dois dire. J’avais découvert une zone de plaisir dingue grâce à mon vaillant quinquagénaire, et il n’allait pas s’arrêter là... Mon homme m’avait emmené dans un bar gay, gardant un air mystérieux quant à ses véritables intentions, et jetant régulièrement un œil sur son téléphone. Après avoir bu quelques coups, Jacques m’invita finalement à me lever, et nous nous dirigeâmes vers l’arrière-salle du bar, sans que j’aie aucun doute sur la suite de la soirée..... Un escalier plus tard, nous arrivions dans petit couloir cossu paré de décorations rouges. Excités comme nous l’étions par l’atmosphère du bar, nous ne pouvions nous empêcher de nous bécoter pendant le trajet. Les gestes de Jacques étaient de plus tactiles à mesure que nous nous éloignions du regard des clients du bar, et dès que nous étions totalement à l’abri des regards mon mentor me caressa franchement ; il me conduit ainsi jusqu’à une porte du couloir. À peine entrés nous nous sommes roulés une pelle sensuelle, Jacques m’allongea sur le lit grand format qui s’offrait à nous, la petite chambre dans laquelle nous étions entrés était subitement témoin de nos caresses, de notre si beau baiser, des embrassades de nos langues. Allongé sur le lit, j’appréciais peu à peu le corps du Jacques qui collait au mien, mon propre corps se mettait à onduler sensuellement, alors ...
... que je sentais la langue de mon homme parcourir mon cou, ma main caressant ses cheveux grisonnants. Il s’éloigna cependant de mes bras : "Sois patient mon petit, tu es tellement attirant quand tu es chaud comme ça mais il va falloir te calmer un peu..." — Quoi, mais on s’est à peine embrassés ?! — Je te demande juste de patienter pendant que je m’absente quelques minutes. En attendant, prépare ton cul..." Clac ! Il agrémenta ses mots d’une belle fessée ; "ton joli petit cul..." susurra-t-il en s’éloignant de la chambre avant de fermer la porte. Je repris mon souffle et jeta un coup d’œil appuyé à la pièce. Sans fenêtres, un faible éclairage donnait une teinte rougeâtre à la chambre. Quelques bières bouteilles étaient posées sur une étagère ; j’en décapsulai une avant de poser mon regard sur le radio-CD qui traînait sur le meuble. Je m’allongeai sur le lit en terminant la bière. C’est alors que la porte s’ouvrit. Un homme mûr bien bâti rentra tranquillement dans la pièce. Crâne rasé, le visage fin, seules quelques rides trahissaient son âge. On le devinait fin mais assez costaud, sous sa veste d’été son t-shirt moulait un torse sec et un peu musculeux. Il me dépassait d’une bonne demi-tête, et une expression de satisfaction émanait de son visage quand il posa les yeux sur moi. "Antoine, je présume" fit-il d’une voix franche, toujours en souriant. "Un ami que nous avons en commun m’a dit beaucoup de bien de toi..." L’ami en question se tenait derrière le bel inconnu. Jacques ...