1. Mon voisin est un gros porc et j'aime ça. (1)


    Datte: 22/03/2021, Catégories: Hétéro

    ... une bonne idée. C’est plus hygiénique aussi pour notre vie intime... Et je m’approchais de lui bien décidée à satisfaire le désir qui était monté en moi à la vue de mon voisin et du vit épilé de mon homme. "Nan, nan, arrête... j’ai pas le temps.. je dois ressortir". — Ben, tu vas où ? — Justement, avec Manu on va faire du sport. — Tu aurais pu prévenir. Déçue une fois de plus, je le laissai achever sa préparation en me disant que dès qu’il serait parti, mes doigts suppléeraient à sa bite... d’ailleurs plus avantageusement finalement, quant à la durée au moins. Il sortit. Mais il était à peine parti que je me posai une question. Un truc n’allait pas, mais quoi ?Ah oui, il était parti au sport... sans affaires de sport... un doute, un immense doute... Et s’il allait retrouver une nana, s’il s’était préparé pour elle, s’il me trompait, le prétexte du meilleur pote et tout ça tout ça....je décidai de le suivre. Trop tard, il était monté dans le bus... Vite, un vélo... et je me mis à suivre le bus.... bien loin jusqu’au parc qui borde le périphérique. Un vaste parc.... je le suivis en me dissimulant... Ouf... il ne m’avait pas menti. Emmanuel l’attendait sur un banc. Je m’apprêtai donc à les rejoindre quand il se leva... ils se prirent par la main mais pas de la façon dont deux amis se saluent et ils jetèrent un rgard alentour. J’eus juste le temps de me dissimuler derrière un bosquet.... et quand ils furent bien sûrs d’être seuls, ils s’embrassèrent à pleine bouche. Je ...
    ... m’attendais à tout, sauf à cela.Je restai tétanisée. Puis ils se mirent en marche. Je les suivais toujours. Encore 500 mètres à pieds, la zone industrielle et commerciale... une petite rue. ... une sorte de hangar. Il y entrèrent. Je regardai l’enseigne, vis le rainbow flag sur la porte, consultai internet sur mon smartphone. Ils étaient entrés dans un sauna 100 % gay ! Nul besoin qu’on me fit un dessin ! Je rentrai à l’appart, abattue. Comment n’avais-je rien vu ? Je ne fus pas longue à prendre mon parti. L’appartement étant à moi, une chance, je rangeai les affaires de Kévin dans un grand sac, une grande valise et lui adressai un texto : "je té vu avec Manu l’embrassé. J’espère qu’il apprécie ta petite queue minable rasé. Tes affaires son sur le canapé. Je rentre à 22 H 00; je veux plus te voir". Il était presque 19 H 00. Je mis ma robe la plus transparente, sans rien dessous. J’avais décidé de prendre la vie à pleine main. J’allais sonner chez le voisin. Sur le palier, une dernière hésitation... l’image de Kévin avec Manu, le souvenir de la bosse dans le survêt de jean-Pierre... j’y vais, je sonne... voilà c’est fait.... Grand saut dans l’inconnu... "Tiens salut... tu as besoin de quelques chose" ? — Oh que oui ! — Oh, oh, ça a l’air grave. Entre. J’allais me mettre à table. Tu veux l’apéro ? — Pourquoi pas. — Tu m’excuses, je me suis mis à l’aise. Il était dans un T-shirt très moulant et avec un pantalon de survêt de même. Cela correspondait à mon souvenir, à mon fantasme, donc à ...
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