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LA DUCHESSE DE L’AUTOROUTE. (5x14)
Datte: 23/03/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro
Je viens de me gagner 180 € en suçant six mecs dont deux étrangers que je soulage de 50 € au lieu des 20 que je prends depuis que je fais la pute pour survivre quand je vois débouler une grosse rousse avec une batte de base-ball qui veut me massacrer car je travaille sur son territoire. Une pouffiasse avec une immense chevelure rousse et des seins énormes sortant à moitié de son soutien-gorge, c’est tout ce que j’ai le temps de voir quand précipitamment je m’assoie au volant et que je démarre le plus vite que je peux. Je sens qu’elle lâche un grand coup de batte sur le dessus de ma voiture quand je passe à son côté manquant de la renverser. Je vais jusqu’à Mâcon retour au restoroute de Beaune, le drôle de bruit dans mon moteur s’intensifie mais j’arrive à regagner Beaune. Il est loin d’être l’heure de la prise de travail de Fantine mais je retourne à l’hôtel où je retrouve ma carte d’entrée dans ma chambre que j’ai payée jusqu’à 10 heures. • Réveillez-moi à 9 heures s’il vous plaît. • Ce sera fait madame bonne nuit. Je passe la fin de ma nuit dans la chambre blottie de peur de voir arriver la grosse avec son bout de bois. Je sors et je vois ma voiture avec le toit enfoncé avant de rejoindre Fantine. • Je suis bête excuse moi d’avoir oublié de te prévenir, à Saint-Ambreuil direction Lyon c’est le territoire de la grosse Berthe que les routiers appellent la grosse Bertha comme le canon pendant la guerre. Elle a plus de 70 ans et 20 ans d’autoroute, les conducteurs disent tous ...
... qu’ils passent leur chemin et qu’elle se fait une fois de temps en temps un Tchèque ou un Polak qui roule depuis plus d’un mois. 70 ans 20 ans d’autoroute, si je fais le rapprochement si cette galère continue trop longtemps je serais la prochaine grosse Bertha de cette portion d’autoroute. • Ta copine elle en tenait une belle. • Oui, nous avons passé la journée ensemble. • Es-tu une gouine ? • J’ai connu une jeune fille dans ma jeunesse et les bons moments que j’ai passés avec Juliette me les ont rappelés mais j’ai surtout constaté que j’étais bisexuelle et que j’aime autant les hommes que les femmes. • Quand je serais en manque de sexe je t’inviterais un week-end à la maison quand ma mère gardera mes enfants. • Vends-tu des cartes de téléphone portable ? • Oui 20 minutes. • J’en prends une. Je bois un café, mange un croissant discrètement offert par celle qui vient de me faire comprendre qu’elle aussi est certainement bi. • Je te laisse, je dois aller m’occuper de ma voiture. Je retourne auprès de la malade. • Allo monsieur Ludo, c’est Fantine qui m’a dit de vous appeler, j’ai une bielle qui déconne sur ma voiture. • Oui. • Dans une heure au restoroute de Beaune direction Paris. • Je vous attends, à Fantine vous à parler de moi. En bien j’espère. Nous rigolons et il raccroche sans faire d’allusion à une quelconque compensation. • C’est bien une bielle, vous aviez raison, vous vous y connaissez en moteur. • Non mais une amie, oui. Il charge la voiture et je monte à son côté ...