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Vacances... (3)
Datte: 23/03/2021, Catégories: Inceste / Tabou
... dos de ma fille. Au bout d’une minute, sentant que je ne réagis pas, elle me bascule sur le coté et se dégage. — Ne bouge pas je reviens. Bouger ? J’en suis incapable et attends avec confiance qu’elle sorte de la salle de bain. Elle essuie avec une lingette la verge détendue, puis remonte le short. — Merci ma chérie. — Merci à toi Papa chéri… Ooh ! Que j’en avais besoin ! Je la regarde avec indulgence. — On peut dire que tu as changé ces derniers jours ! — Tu sais, vous avez réveillé en moi un appétit de sexe que je croyais disparu et qui n’était qu’endormi. Tout d’un coup, tout à l’heure, j’ai été submergé par une envie de te faire l’amour et je me suis précipité ici. On peut presque dire que je t’ai agressé ! — Excitée comme tu l’étais, si je n’avais pas été là, aurais-tu demandé au voisin de me remplacer ? Elle éclate de rire : — Quand même pas ! Tu m’en veux ? — Oh pas du tout ! Tu m’offres les meilleures vacances depuis longtemps. Elle s’installe à mes cotés et se love contre moi. — Je suis bien comme ça… En ce moment tendre je ne tente qu’une caresse furtive sur l’épaule nue. — Tu sais Papa… J’ai réfléchi… Elle s’arrête de parler, je l’encourage discrètement. — Oui ? — Avec toi et Annie… Je ne pourrai plus vivre comme avant… — Et Marco ? — Oh mon neveu ? Il ne compte pas… Ou si peu, admet-elle. — Tandis qu’avec ta fille et ton père… Que veux-tu me faire comprendre ? Qu’on devait cesser tout rapport ? — Oh non ! Au contraire… Ce que vous m’avez fait vivre ces derniers ...
... jours est merveilleux, trop merveilleux pour que cela cesse. Mon seul regret est que cela n’arrive que maintenant, à la fin des vacances. Elle me regarde les larmes aux yeux. Je lui souris, me penche sur son visage, nos lèvres se joignent pour un baiser léger. — Si je devine bien, vous avez passé de tendres moments ta fille et toi hier après-midi, n’est-ce pas ? — Tendres moments c’est le mot… Tu sais, j’ai décidé de ne plus me priver de plaisir, la vie est si courte. — Tu me vois ravi de cette décision. — Je me rends compte que je ne pourrai plus me passer de vous… De votre amour j’entends. — C’est bien comme ça que je l’avais compris. — Mais… — Mais ? — Fred… — Quoi Fred ? — J’aime mon mari Papa. Il me rend heureuse, et ce n’est pas les nouveaux sentiments que j’éprouve pour toi et Annie qui y changent quelque chose. Je ne veux pas lui faire de la peine mais d’un autre coté je ne saurai lui cacher qu’il y a plus que de l’amour filial entre nous… Je ne le désire pas d’ailleurs. J’aimerais qu’il me comprenne et m’accepte telle que je suis devenue… Je ne sais que faire… Les confidences d’Annie au sujet de son père me reviennent en mémoire. Un instant je pense en parler pour rassurer Catherine puis me reprend à temps. Non, je n’ai pas le droit de trahir la confiance de ma petite-fille. C’est à elle ou à son père de savoir s’ils doivent révéler leur liaison. — Fred m’a toujours été sympathique, je suis sûr qu’il comprendra et te pardonnera. — Tu crois qu’il acceptera ? — Jusqu’ici ...