1. Resserrer les liens familiaux - Les Seychelles de Jacob (5)


    Datte: 23/03/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... genre « crevée de ne rien faire ? », mais curieusement je n’en avais pas envie. — Hum, vous voulez quelque chose à boire les enfants ? Un coca, jus de fr… demanda innocemment mon père, avant de se faire couper par Julie. — Je prendrai bien une pression, j’ai une de ces soifs… Elle serra un peu plus ma cuisse avec sa poigne. Sa réponse était tout à fait inédite, elle n’avait jamais bu d’alcool au sein de la famille, bien que sa consommation extérieure était connue de tous. Ma mère eut un geste de recul, et Franck avait le regard perdu sur le verre vide de ma sœur, se disant probablement « Ah, c’est bien ma fille ça ! ». — Et toi Jacob ? questionna ma mère, comme si elle s’attendait à une réponse encore pire. — Un simple jus de mangue fera l’affaire, la rassurai-je. Cette situation avait jeté une sorte de froid sur la table pendant toute la durée de l’apéritif. Nous avions alors parlé de choses sans intérêt pour meubler la soirée, mais la main de Julie, quant à elle, ne quitta pas ma cuisse, elle s’y baladait tranquillement, du genou jusqu’à l’aine. Au moment du plat de résistance, sa jambe s’était également entortillée autour de la mienne, tel un boa constrictor. Il y avait définitivement quelque chose de changé chez Julie, dans son attitude, son comportement. Elle n’aurait jamais fait ça auparavant, même à l’un de ses copains, et encore moins en présence des parents. Arrivé au dessert, son jeu devenait insoutenable et dangereux : sa main était maintenant autour de mon sexe ...
    ... en érection, au travers de mon short. Elle me massait doucement le gland comme si elle avait fait ça toute sa vie, puis venait parfois caresser mes testicules. J’essayai de la repousser avec mon bras, mais elle revenait sans cesse à la charge, bien décidée dans son idée. Tout à coup, ma mère se leva. — Je vais aux toilettes, je reviens. Julie arrêta immédiatement de me tripoter le service trois-pièces, puisque debout ma mère avait une vue plongeante sur mon short. Son regard s’y attarda quelques instants, puis, choquée, elle continua sa route vers le couloir. Elle venait de voir une bosse énorme défigurer le vêtement, alors que nous étions en dîner de famille. Une honte suprême m’envahit alors, c’était l’effondrement d’un monde, c’était toute une image à reconquérir auprès de ma mère. Je l’imaginais déjà débâtant avec mon père « Notre fils est un obsédé, ne devrait-on pas lui faire aller voir quelqu’un ? un psychologue ? un spécialiste ? ». Julie, quant à elle, se marrait, silencieusement. Tout ça c’était de sa faute, et je n’avais qu’une seule envie, l’étriper en place publique ! J’essayai de garder mon calme tant bien que mal. Mais par rage, je ne pus m’empêcher d’envoyer un coup de poing dans la cuisse de ma sœur, ce qui la fit rire davantage encore. Lorsque Sylvie revint des toilettes, elle m’afficha un bref regard inquiet avant de m’ignorer totalement pour le reste de la soirée. J’étais fini. Perdu dans mes réflexions, je n’avais prêté aucune attention à la suite des ...