Les secrets de Babette
Datte: 23/03/2021,
Catégories:
fh,
jeunes,
copains,
noculotte,
vidéox,
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
occasion,
... jusqu’à chez elle, comme un petit toutou. Je suis tellement peu aimable avec elle que toutes les tentatives de cette pimbêche pour détendre l’atmosphère restent vaines. Si en plus il faut sourire, hors de question, je démissionne. Je dis « Bonjour » à la maman, portrait craché de sa progéniture, mais en deux fois plus vieille, avec des hanches presque deux fois plus larges. Et bien ça promet, Babou, quand tu seras vieille, tu vois ce qui t’attend ! Après les présentations d’usage, la Babounette m’entraîne dans sa chambre et reste plantée derrière mon dos. J’ai horreur de ça, j’ai horreur qu’on me regarde. Je manipule deux ou trois trucs. Mais le fait de la savoir derrière mon épaule me met très mal à l’aise. Elle ne peut pas aller jouer ailleurs ? Manque de confiance ou quoi ? Je me retourne, je lui fais face : — Elle est pourrie, ta bécane, je crois que je vais en avoir pour pas mal de temps… alors si tu as autre chose à faire… Tout ça pour qu’elle s’en aille mais apparemment, elle n’a pas l’air décidée à me laisser tranquille. Elle s’incruste tout contre moi. Décidément elle fait chier. En plus, elle schlingue le parfum bon marché avec lequel elle s’est aspergée en abondance. En arrivant chez elle, elle a fait une petite halte à la salle de bain, et je crois qu’elle en a profité pour se remaquiller. Je ne comprendrai jamais rien à la psychologie féminine ! J’arrive à me connecter difficilement sur Internet mais, au bout de quinze secondes, le butineur se met à faire ...
... n’importe quoi. Il ouvre des fenêtres au hasard, des messages d’alerte bizarres, et il plante même pour aller sur les sites les plus connus. Ça pue le virus à plein nez, ou autres cochonneries du même style. En plus il n’y a pas qu’Internet qui déconne, Windows lui-même finit par délirer totalement. J’essaie d’expliquer tout ça à mademoiselle Babette, mais elle, évidemment, à part ses histoires de nanas débiles, elle ne comprend pas grand-chose à la technique. Vide du ciboulot, comme ma sœurette. Mais au moins, elle, elle fait mine de s’intéresser. — Mais qu’est-ce que l’on peut y faire ? me demande-t-elle, soudain inquiète par ma réaction plutôt hostile. Ça, c’est une bonne question. Je ne vois pas trop, à part foutre cette machine pourrie à la ferraille. — Il faudrait passer des logiciels spécialisés pour dépolluer tout ça. Mais on ne peut même pas les télécharger, vu qu’on ne peut pas rester suffisamment de temps sur Internet.— Mais toi, chez toi, tu ne les as pas, ces logiciels ? Maline, la guêpe ! En tout cas, plus futée que ma frangine. — Si… j’ai tout ce qu’il faut à la maison, d’ailleurs je crois que je ferais mieux d’emmener ton ordi chez moi et de le regarder à tête reposée. Elle en devient livide… — Non ! Hors de question ! Tu le répares ici ! décide-t-elle d’un ton sec et sans appel. Vraiment, je suis contrit. Consciente d’avoir été un peu péremptoire dans sa réponse, elle module alors ses propos : — Je préfère que tu fasses ça ici… allez, s’il te plaît, sois sympa. Va ...