1. Un cocu heureux 1


    Datte: 24/03/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... bière. La fatigue du voyage marque moins les femmes que les hommes. Je reste assis, Léo s’attarde au bar, nos belles s’envolent aux bras de jeunes gens. Mylène tourne avec un jeune gaillard, le maître nageur. Muscles plus muscles, tout en muscles, poitrine plus large que les hanches. Un athlète taillé en V, Je me repose, je me lasse d’être seul, je me lève pour faire quelques pas dans l’air du soir. - Chéri, où vas-tu? Mylène m’a vu me lever, me hèle sans lâcher son cavalier. Je réponds à distance : - Je vais en bord de mer pour me détendre…. respirer l’air du large. - J’aimerais continuer à danser, il y a des jeunes très amusants et bons danseurs. - Mais bien sûr, ma chérie, danse. Tiens Léo a retrouvé Léa. Pendant que je m’éloigne, notre voisin veillera au grain. Je sors du camping, marche un peu, me ravise: je devrais prendre un pull léger. Mylène et le maître nageur quittent la piste sous mes yeux, marchent devant moi. Bizarre! Je les suis, ils sont pressés, aboutissent à notre mobil home, y entrent. Il doit y faire lourd, une lampe douce éclaire le séjour, les fenêtres restent ouvertes. Curieux de savoir à quel jeu ma femme se livre, j’approche doucement, me place à l’ombre sur la terrasse et je vois. Le jeune athlète a posé son tee shirt sur un dos de chaise et se tient debout, de dos pour moi, dorsaux saillants, biceps et autres muscles bandés et exhibés pour séduire. Il bombe ses pectoraux, puis il se baisse sur Mylène pour lui embrasser le cou. On entend la musique ...
    ... du bal et le couple tourne sur lui-même dans l’espace restreint du séjour. La chevelure brune décrit de grands cercles sous le souffle des lèvres du jeunot. La situation est claire, en moins de deux heures ma femme a charmé un gaillard de vingt ans, Apollon des bords de piscine, dont la carrure et la musculature bodybuildée l’ont impressionnée. Sans perdre de temps elle a attiré cette proie consentante dans son repaire pour le consommer aussitôt, en mettant à profit mon désir de marcher. Il faut les voir se bécoter, se serrer, se palper. Mon retour pourrait les interrompre, donc ils ne s’embarrassent pas de fioritures, c‘est du « droit au but ». Les mains viriles courent des seins aux hanches, celles de Mylène pianotent dans le dos du garçon, de la nuque à la ceinture, tâtent et apprécient la musculature du nageur. Le soutien-gorge est passé au-dessus des seins. Le type suce les tétons et plonge une main dans l‘entrecuisses, par devant, par derrière, tout est bon pour atteindre la cible, un sexe de femme mariée, plus âgée que lui, mais parfaitement baisable et qui semble attendre la découverte des parties encore cachées du bonhomme. L’intention est évidente, les gestes parlent d’eux-mêmes. Un type qui ramène une femme chez elle quand le mari s’est absenté, sait ce qu’il attend en retour. Une femme qui ramène un beau jeune homme chez elle en l’absence de son mari n’espère pas le voir partir dès qu’elle arrive à son port. Elle souhaite prolonger la conversation, elle est prête à ...