Corinne et les jumeaux
Datte: 24/03/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
... emparèrent avec volupté et peu importait qu'elles ne sachent pas si l'une était de Max et l'autre d'Alex. Ces deux là comprirent très vite que les deux suceuses étaient d'un autre calibre que leurs copines habituelles. Ils avaient l'impression d'être dans du velours. S'abandonnant à la bouche habile des deux quinquas, ils atteignirent une longueur et une dureté que les deux goulues considérèrent comme prometteuses et suffisantes. Il était temps de se mettre à poil. ******* L'avantage avec des jumeaux, pensa Corinne en dégrafant son soutif, c'est qu'on ne risque pas de se disputer en voulant l'un plutôt que l'autre. De fait, elle ne savait pas si c'était Max ou Alex qui l'aidait à se débarrasser de son short ou qui était déjà en train de plonger son museau entre les cuisses de Mylène pour un cunnilingus. Mais au fond, peu importait car c'étaient deux mâles splendides aux caractéristiques identiques qui allaient les honorer et ainsi baiser côte à côte pour la première fois depuis qu'elles se connaissaient. Corinne s'offrit elle aussi au cunni et découvrit dans le miroir du plafond la posture d'elle et de son amie en travers du lit, en train de se faire lécher par deux têtes crépues forcément identiques. Mylène matait aussi et leurs regards se croisèrent, où elles pouvaient déjà lire l'abandon à l'étrange situation. Puis dans un même mouvement, les jumeaux se relevèrent, coiffèrent un préservatif préalablement sélectionné, posèrent leurs mains sur le lit et les pénétrèrent ...
... quasi en même temps. Corinne gémit et Mylène couina beaucoup plus fort. Les deux gars labouraient en se régalant du corps parfaitement conservé des deux quinquagénaires, au fond pas si différent de ceux plus jeunes qu'ils avaient l'habitude de besogner. La comparaison pouvait même, dans certains cas, se porter à l'avantage des deux femmes mûres. Ils ne tardèrent pas à comprendre que leur labeur allait être hautement récompensé. Stimulées par la vision au plafond des deux petits culs bronzés qui s'agitaient en elles avec souplesse, Corinne et Mylène se mirent à ruer dans les brancards comme si elles étaient fortement désireuses de montrer à leurs chevalier servants qu'elles n'étaient pas de simples planches à pain au lit. Décollant leurs fesses, roulant des hanches, griffant les flancs ou les épaules de leur amant, elles accompagnaient leurs soubresauts d'onomatopées et même de propos crus qui surprirent les jumeaux et leur fit vite comprendre qu'ils étaient tombés sur deux dévoreuses. Corinne et Mylène semblaient s'exciter mutuellement, comme une petite compétition de crudité, en évoquant la bite et même les couilles de leur baiseur réciproque. Cela eut pour effet d'accélérer leur rythme et donc de faire monter les décibels dans la chambre au point que Muriel interrompit son propre coït pour venir voir complètement à poil ce qui se passait : - Eh bien les filles, on dirait que vous prenez votre pied, s'exclama-t-elle. Du coup, une pause intervint, salutaire pour les jumeaux qui ...