PokémonVR (2)
Datte: 31/10/2017,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... alors demandé si... — Si quoi ? Lui demandai-je intrigué. — Si nos corps étaient eux-aussi restés les mêmes. Je la regardais, troublé. — Bah, apparemment nous avons la même apparence que dans la vraie vie, alors je suppose que oui. — Mais j’ai envie d’en avoir le cœur net. Dis, ce que je vais te demander va peut-être te paraître étrange, mais est-ce que tu pourrais me montrer ta …. Enfin, tu sais quoi, histoire d’être sûre. Je la regardais en ouvrant grand les yeux. J’avouais que je m’attendais à ce qu’elle ajoutât un « poisson d’avril même si on n’est pas en avril », mais elle ne le fit pas : elle était on ne pouvait plus sérieuse. — Je sais pas, dis-je en rougissant à mon tour. Après tout, j’ai une copine. — Mais ce ne serait pas là tromper que de juste te déshabiller, dit-elle en joignant les mains devant elle. S’il-te-plaît. — Je sais pas. Écoute, je suis assez pudique, alors ça me gênerait. — Bon, tu sais quoi, si tu me montres, je te montre. Tout. Waouh, pensais-je. Elle voulait vraiment savoir. Mon cerveau se mit à bouillonner. Après tout, ce n’était que pour savoir si le professeur Secoya avait poussé le réalisme jusque là. Et puis, Stéphanie n’était pas censée le savoir. — Bon, OK, mais vite fait. — Ouais, après tout on ne fait que regarder, rien de plus, hein. ...
... — Évidemment. Je commençai alors à me déshabiller, elle aussi. Au bout de trente secondes, nous fûmes tous deux en sous-vêtements. Nous nous arrêtâmes pour nous regarder dans nos petites tenues. — Bon, à trois, tu baisses leslip et moi pareil. Un...Deux...Trois. Je pris l’élastique de mon caleçon et le baissai de telle sorte qu’il tomba au niveau de mes chevilles. De son côté, Ayaka avait ôté sa culotte blanche et venait à peine de dégrafer son soutien-gorge. Je pus alors admirer une paire de seins absolument splendides. Toutefois, je ne voyais rien de son sexe, je ne pouvais donc pas juger. Seul un triangle depoils brun fraîchement épilé s’offrait à ma vue. Je la regardais pour lui faire ma remarque, mais lorsque je vis son regard embarrassé et son teint écarlate, je suivis son regard et compris ce qui l’avais mise dans cet état : sans m’en rendre compte, la voir nue m’avait faitbander. Ce fut alors une verge de seize centimètres qui se dressait fièrement vers elle. —putain, c’est comme en vrai. Bordel, j’ai comme des gargouillis dans le bas du ventre. Non, je ne dois pas, dit-elle à toute allure. Et merde, tant pis pour les principes. Sans que je pusse faire quoi que ce soit, elle me sauta au cou et, dans un élan d’hormones de désir, attrapa mon sexe en m’embrassant.