1. Cocu de petit à grand....histoire de Karine


    Datte: 24/03/2021, Catégories: Partouze / Groupe Première fois Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... celle de ma douce. Tendrement, elle m’offrit les siennes en retour. Notre baiser fut long et beau. Je lui murmurais des mots doux, la complimentant sur sa prestation. Je n’entendais pas ses réponses, mais j’imaginais ses frustrations.Lorsque son partenaire, la laissa enfin. Je vis avec plaisir, le sexe ouvert de ma femme. Les petites et grandes lèvres étaient gorgées de sang et ouvertes. Elles semblaient déployées comme les ailes d’un papillon. La grotte d’amour était luisante. Comme un fou, je me suis empressé de les lécher, les aspirer.Me rendant compte de la bêtise de mon acte, je reprenais ma place en m éloignant. Je n’allais pas gâcher la fête. Le cocu doit rester à sa place.Karine reprenait conscience de l environnement. Assises sur le bord du canapé, elle regardait avec sourire, le sexe dressé d’Olivier. Naturellement, celui-ci s’approcha, sa queue bandée, vers Karine, lui faisant comprendre son envie. Elle n’hésita pas. Elle pris le phallus en main, commença à le caresser, le masturber. Et c’est tout naturellement qu’elle finit par l’engloutir dans sa bouche. Sa tête montait et descendait le long de la hampe. Elle léchait les petites couilles, puis le gland avant de le reprendre en bouche. Olivier poussa Karine sur le lit. Le dos allongé, les jambes pendantes, elle lui présentait son intimité. Il s’empressa de lui rendre hommage en lui léchant son clitoris.Karine semblait se détendre. Je devinais que sa jouissance allait venir. Hélas son partenaire était bien trop ...
    ... impatient d atteindre lui même l’orgasme.Olivier lui demanda si elle voulait être pénétrée de nouveau. Je m’approchais jalousement de Karine et lui demandait si elle avait envie. Dans un sourire moqueur elle me répondit par l’affirmative.Je présentais un préservatif à son pourfendeur. Ainsi coiffé, D’un seul geste, à genoux, il prit possession de sa partenaire.Il ne résista pas bien longtemps et sa jouissance fut rapide.Comme dans un rêve, tout s’activa. Tout le monde se rhabilla. Ils me donnérent tous l’impression qu’il fallait manger maintenant. On devait passer à un deuxième type de nourriture terrestre, comme si le premier n’avait pas eue lieu.J étais sonné, heureux et morose. J’avais dû mal à accepter mon cocufiage et en même temps, je remerciais Karine. « C’est ce que tu voulais », m’avait été jeté triomphalement par mon amour.Le repas me parut long. Je lorgnais sans cesse sur les jambes de ma belle qui frôlaient celles de Jean-Michel. Mais pas de geste ni des uns ni des autres. Pas de mains sur les genoux. Pas de moquerie sur moi, pas d’humiliation, rien !!! On parlait de vacances, nourriture, vins, sans aucune allusion à ce qui s’était déroulé. Pour nos hôtes, je n’étais que voyeur. Pour moi, j étais cocu de nouveau….mais j’avais l’impression que rien ne s’était passé.Au retour, Karine m’enleva la cage. Je lui ai fait l’amour avec autant de douceur que possible. Nous avons presque jouit ensemble. J’ai eue du mal à m endormir. Je re-visionnais les moments forts dans ma ...