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Je me suis mise à traiter mon fils
Datte: 24/03/2021, Catégories: Inceste / Tabou
... sortir mes doigts. Je lui ai demandé de le faire en laissant aller ma main. Quand il a sorti presque entièrement mes doigts je les ai repoussés au fond et lui ai demandé de recommencer. Après une dizaine de fois j'ai repris mon massage pour qu'il me dise de nouveau ce qu'il ressentait. Il y avait plus de soupirs que de paroles et j'ai commencé à être plus ferme. Je voulais l'entendre bredouiller, s'arrêter au milieu d'une phrase, voir ses hesitations, sa gêne. Il poussait de plus en plus, et comme la veille, de la diarrhée à commencé à suinter sur mon gant. Je lui ai demandé si ça lui faisait aussi comme quand il doit aller aux toilettes. Je ne me reconnaissais plus! Il m'a répondu que oui, et ma question suivante m'a donné une contraction à l'entrejambe. "Quand tu dois aller aux toilettes pour faire quoi?" Son expression à ce moment est restée gravée dans ma mémoire. Il m'a regardée comme si j'avais parlé dans une langue inconnue. Il n'osait pas répondre et j'ai reformulé ma question avec un grand plaisir. "Tu m'as dit que mes doigts te donnent envie d'aller aux toilettes. Mais pour faire quoi?" Il a réussi à me donner sa réponse avec un énorme embarras. Ça me plaisait et j'ai voulais poursuivre. "Et est-ce que tu aimerais y aller maintenant?" Il m'a répondu que oui et j'ai immédiatement retiré mes doigts. "Vas-y, fais ici! Je pourrai peut-être voir quelque chose qui va m'aider." Bien sûr il était déconcerté mais je lui ai dit que je voulais aussi voir comment ça se passe ...
... aux toilettes. Il a longtemps hésité et s'est finalement mis à pousser volontairement. Je voyais son anus bien ressortir mais rien ne venait. Je lui ai alors dit qu'il y avait un sérieux problème car en plus des érections il ne contrôlait pas non plus ses besoins.. "Rien ne sort quand tu as envie et tu fais dans mes doigts quand je veux t'aider." Je lui ai dit qu'il fallait vraiment savoir ce qui se passe. Mais que pour ça il me faudra des instruments et qu'il me laisse faire. L'idée de lui mettre un spéculum m'a donné une poussée d'adrénaline. Quand je lui ai parlé d'écarteurs il a commencé à être très anxieux et il m'a demandé s'il n'y avait pas un autre moyen. Je lui ai répondu qu'avec les radiographies on avait pas besoin de tout ça, mais que je préférais cette méthode. Il était désemparé. Il s'est accroché à l'idée des radiographies et voulait savoir pourquoi on ne choisissait pas ça. Je lui ai dit que c'était parce qu'on avait commencé comme ça.. et que maintenant c'était trop tard, que j'avais déjà choisi. Je ressentais son désarroi et je lui ai dit que je le comprenais mais qu'il allait être examiné de cette manière. J'avais maintenant trois bonnes raisons pour le justifier, que je lui ai rappelées: la surveillance de sa prostate, trouver la cause de ses érections et lui apprendre à contrôler ses besoins. Il s'est résigné et je lui ai répété que c'était pour son bien. Je lui ai dit qu'on allait terminer la nuit, je l'ai embrassé, j'ai pris ma crème et mes gants et je ...