Au bal masqué - Histoires de Sexe

Au bal masqué

Depuis quelques mois notre couple n’allait pas très fort et nous avions décidé d’un commun accord de faire un break avec Brigitte. On n’arrivait plus à avoir des ébats sexuels comme jadis alors qu’auparavant on faisait l’amour dans des endroits insolites et dans d’invraisemblables positions. Le Kâma-Sûtra n’avait guère de secrets pour nous à cette époque. Je me rappelle qu’un jour, nous étions au bord d’une rivière, non loin de quelques pêcheurs. Brigitte portait une jolie robe à fleurs assez ample avec des bas et des porte-jarretelles mais sans culotte. Elle aimait parfois que je la prenne à brûle-pourpoint alors c’était beaucoup plus pratique qu’elle ne porte rien au-dessous. Moi j’étais habillé d’un short affublé d’un polo bleu foncé. On s’était allongé sur une couverture en bordure d’un champ de maïs d’où l’on ne pouvait pas nous voir. J’avais décidé d’enlever mon polo et de faire bronzette sur le ventre pendant que Brigitte retira sa robe et se blottit contre moi. Le frottement de sa peau contre la mienne, ses seins s’écrasant sur mon dos et ses mains caressant mes cheveux ne tardèrent pas à produire en moi de l’excitation. Brigitte me caressa longuement et me demanda de soulever légèrement les fesses afin de passer sa main sur la braguette de mon short. Je me soulevai me laissant aller à ses caresses. Elle passa derrière moi se mettant à genoux, m’enleva mon short puis descendit mon slip pour l’enlever complètement. J’avais le cul à l’air pendant qu’elle me caressait ...

... les fesses, l’entrejambe puis par-dessous les couilles et enfin la hampe de mon sexe. Je sentais la caresse de sa main sur mon corps, la paume de sa main enserrant mon gland et ses doigts se refermant sur ma tige. Je tendais mes fesses vers elle pour qu’elle me doigte comme elle le faisait souvent à la maison car elle savait que j’appréciais cette divine caresse que bien des hommes adorent. Au bout de quelques minutes, je me retournai d’un quart de tour, c’est alors qu’elle se plaça dans la position dite du « 69 », de côté. Brigitte me caressait, me pompait, me léchait les couilles, me masturbait en prenant son temps et en entourant de sa langue mon gland mouillé. Je sentais sa salive sur ma queue tendue pendant que je lui écartais les fesses pour y mettre mon visage et la fouiller de ma bouche et de ma langue. J’allais de son anus à ses grosses lèvres tout en happant son clitoris du bout de mes lèvres. Elle gémissait doucement, écartant ses cuisses pour mieux me laisser la pénétrer de ma langue. Elle m’inondait le visage de sa cyprine. Je n’en perdais pas une goutte. Je la pénétrai d’un doigt puis de deux et enfin de trois doigts. Elle gémissait sous mes coups de langue puis dans un râle refréné à cause des pêcheurs non loin de nous, elle se lâcha et inonda ma bouche de sa semence vaginale dans quelques petits soubresauts bien caractéristiques. Brigitte me masturba et me fit jouir dans sa bouche. Elle se retourna et nous nous embrassâmes fougueusement. Après quelques instants ...