1. Soirée de liberté


    Datte: 25/03/2021, Catégories: fh, extracon, inconnu, jardin, noculotte, Oral préservati, pénétratio,

    ... le sentir me transpercer de toutes parts. Je veux qu’il m’entraîne loin dans la mer des sensations, sur les hautes vagues du pacifique. Steve m’enlace la taille et m’entraîne hors du bar, vers sa voiture. Heureusement, il fait chaud en ce mois d’août et son idée de parc me paraît encore bonne. Je marche presque avec difficulté tellement le désir m’assaille. Rapidement, il m’emmène dans le parc qu’il mentionnait. Sa main n’a pas quitté ma cuisse durant tout le trajet. Ma main posée sur la sienne donne mon assentiment et maintient une dernière distance tout à la fois. Je n’ai pas le sentiment que je vais tromper Paul. Je crois plutôt que c’est un jeu qui se poursuit, une suite logique qui n’aura pas de conséquence une fois le jeu terminé. Il gare sa voiture tout près du parc, mais légèrement en retrait de l’entrée. Nous descendons sans un mot. La tension est palpable. Mon cœur bat plus fort à l’idée de faire l’amour avec lui, mais aussi à cause de l’interdit du lieu. Je me retrouve comme l’adolescente qui courrait la nuit dans les cimetières, par défi, grisée d’un immense sentiment de liberté. Il faut enjamber le mur qui est quand même presque aussi haut que moi. Steve me demande si je pourrai le faire, avec son aide. Je lui confirme que oui, sans réfléchir. Il se positionne au bas du mur et me fait la courte échelle. Je pose le pied gauche sur ses mains croisées et m’accroche avec les mains au-dessus du mur. J’attends qu’il me donne la poussée nécessaire pour me faire ...
    ... basculer complètement sur le mur. Au lieu de cela, il me soulève un peu je sens sa bouche qui se pose sur mon sexe. J’avais oublié que je n’avais plus de culotte. Je serais tombée s’il ne me tenait pas fermement. Sa langue me fouille profondément, alors que j’ai le ventre appuyé sur le rebord du mur, en équilibre presque stable. Je sens que je mouille beaucoup et il me lape au fur et à mesure. Puis ses coups de langue se font plus précis et se déposent sur mon clitoris gonflé. Des vagues de plaisir me transpercent. La position inconfortable m’oblige à ne pas faire de mouvements brusques. Je jette un coup d’œil vers Steve et je vois l’arrière de sa tête blonde encadrée de ma jupette rouge. La vision est de toute beauté. Je sens que je ne vais plus être très longue à jouir. Il accélère ses caresses sur mon bouton et la vague de plaisir monte en moi tandis que je me sens couler dans sa bouche. J’achève de me perdre dans ce monde de sensations avec un râle sourd. Il me pousse alors complètement et je peux enfin me laisser glisser de l’autre côté, à peine remise de mes sensations. J’atterris sur un coussin d’herbe fraîchement coupée. Quelques secondes plus tard, une couverture me tombe dessus et je pousse un cri de surprise. Et peu après, c’est un Steve qui m’enlève du sol avec ladite couverture. Je crie, je ris, je ne sais plus, tout ce que je sais, c’est qu’un homme fort me porte dans ses bras comme si j’étais une plume. Il me dépose dans un petit coin tranquille entouré de buissons. ...