Soirée de liberté
Datte: 25/03/2021,
Catégories:
fh,
extracon,
inconnu,
jardin,
noculotte,
Oral
préservati,
pénétratio,
... seulement besoin d’être rassurée. Maintenant je sais qu’il m’aime, si j’en ai jamais douté. Tacitement, nous entrons sans nous toucher. Nous allons saluer nos amis, comme si nous étions seulement deux bons amis. Oublié le couple pour quelques heures. J’ai peur et je suis excitée tout à la fois. Je sens ma culotte qui se mouille à la pensée de tous les interdits auxquels j’ai pensé depuis quelques jours. Ce soir, je serai une femme, pas seulement la femme de Paul. Aucun de nos amis ne remarque rien, mais après quelques années, un couple ne ressemble plus à de jeunes amoureux, forcément. Un peu plus tard dans la soirée, je regarde Paul qui s’est assis au bar, à quelques sièges de moi. Il est entouré de deux femmes un peu plus jeunes que lui et il tente apparemment d’engager la conversation. Il ne me jette pas un coup d’œil. J’attends un je ne sais quoi, un signe de sa part, une preuve qu’il m’aime toujours, j’attends qu’il me rassure. Je me sens un peu abandonnée par lui. Mais quoi, je l’ai cherché, je l’ai voulu, je suis ici ce soir pour redécouvrir les joies de la séduction. Je ne dois pas me focaliser sur ce qu’il fait, mais plutôt chercher mon propre plaisir, enfin disons plutôt passer une bonne soirée sans me tourmenter. — Bonsoir ! Je me retourne brusquement et ma jupe en profite pour virevolter à la limite de la décence. C’est un homme grand, blond, à l’air sympathique, qui m’a abordée. Alors j’engage timidement la conversation. — Bonsoir…— C’est la première fois que ...
... je vous vois ici, vous venez souvent ?— En fait, je suis déjà venue, mais ça n’arrive pas très souvent. En tout cas, je ne vous ai jamais vu non plus. Je ne joue pas à la gourde, je suis gourde… Oubliée mes bonnes intentions de flirts passionnés, je me retrouve avec un trac pas possible et une incapacité à agencer une conversation normale avec une attitude décontractée. J’aurais tellement voulu entrer dans le jeu visible de cet inconnu et le séduire un peu, ou beaucoup selon l’ambiance du moment. Et là, je dois dire que l’homme en face de moi m’incitait grandement à vouloir entrer dans son jeu. Mais voilà, c’est toujours plus facile à dire qu’à faire. Il voit mon hésitation et reprend avec un sourire et une phrase facile : — Je vous offre un verre ?— Euh… oui… bien sûr, avec plaisir !— Vous buvez quoi ?— N’importe quoi, comme vous, tout sauf de la bière.— Alors ce sera un martini, dit-il en mettant fin à mon indécision. Pendant que le barman s’affaire sur nos verres, il me fait signe et nous prenons place au bar. Je m’assois en prenant bien soin de ne pas trop en laisser voir sous ma jupe définitivement trop courte. Et s’il voyait ma culotte ? Je sais que je me suis habillée pour séduire, mais je n’arrive pas encore à me laisser aller totalement. Ou est passé le temps où tout était facile, où un coup d’œil et quelques gestes suffisaient à attirer les baisers romantiques ? — Comment vous appelez-vous ? me demande-t-il.— Ah oui ! Viviane, je m’appelle Viviane.— Moi c’est Bond. ...