1. Amours culottés (3)


    Datte: 26/03/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... branle-toi bien. Tu veux venir plus près de moi ? — Aaah… Oui… Je voudrais être tout près… Aaah… Je voudrais être en toi… Comme ces courgettes. — Viens, mon Bébé, viens près de Maman. Brice se retrouva debout à côté de sa mère qui l’attira en le prenant par la hanche. Elle le regardait dans les yeux, le visage tout près de sa bite qu’il branlait de plus en plus énergiquement. — Tu n’as rien pour récupérer ton foutre… Tu vas jouir sur mon assiette, d’accord ? — Aaah ! Ah oui, Maman ! Je te donne mon foutre ! Tiens ! Aaah ! Encore ! Aaah oui ! Aaah… Aah, Maman… J’ai tellement envie de toi… Je veux te faire l’amour et te donner tout le foutre que tu veux. Je t’aime… Je t’aime tellement… — Moi aussi, mon Poussin, je t’aime et moi aussi, j’aimerai te sentir en moi un jour, mais j’ai besoin de temps. Je ne veux pas que ce soit précipité et surtout pas juste après le départ de ton père. — On se protègera, je mettrait des capotes… — Poussin, n’insiste pas et oublie les capotes ; je n’ai pas eu de règles depuis plus d’un an. La ménopause intervient généralement entre 45 et 55 ans et chez moi, elle a débuté l’année de mes quarante ans. Mais si un jour, tu mets ton gros zizi en moi, j’aimerai mieux que tu éjacules en dehors, sur mon ventre, mes seins ou dans ma bouche. — Je le ferai, Maman, j’ai tellement envie… — Ça va, Poussin, j’ai compris, mais là, on va finir de manger et ça ne se fera pas aujourd’hui. N’insiste pus ! — Pardon, Maman… Je suis désolé. Brice s’en voulut de vouloir ...
    ... précipiter les choses et, pour se changer les idées, il retourna travailler deux heures, après le déjeuner. Il se calma et retourna auprès de sa mère dans le salon. Elle était allongée nonchalamment sur le canapé et parlait au téléphone avec Gabriel, tout en regardant, sans le son, une série à la télé. — Non, on n’est pas sorti, Brice a du travail de toute façon, et moi je n’ai pas la tête à ça — … — Non ! Hi hi ! Gabriel tu es vraiment infernal ! Ce n’est pas parce que tu passes la porte que ça devient la fête du slip ! Houps, Brice est là. Viens, Poussin, c’est ton père. — Il est bien arrivé ? — Oui et bien installé apparemment. — Dis lui que je l’embrasse… — Tu as entendu ? Ton père aussi t’embrasse très fort… Et… Et compte sur toi pour prendre soin de moi… — … — Ah non. Ça, je ne lui dirais pas ! Gardes tes fantasmes pour toi ; en plus, tu ne sais même pas comment tu réagirais si ça arrivait. — … — Gabriel, t’es un cochon et tu devrais avoir honte de me mettre des trucs comme ça dans la tête. Tu fais ce que je crois, là ? — … — Cochon ! Oui, je le ferai… — … — Bien sûr, partout… — … — Oui, dans mon cul aussi… Ça te plairait dans mon cul ? Gabriel se masturbait dans son appartement berlinois, fraichement repeint et meublé pour lui ; il se sentait seul et ses délires de cocuage incestueux par un fils bien mieux membré que lui l’avaient repris dès son arrivée dans la capitale allemande. Line n’avait pas raccroché et répondait à ses questions salaces, tirées de ses fantasmes ...
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