1. Monumentale


    Datte: 26/03/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... trouvaille devant moi, se plaça en son centre et détacha lentement la fermeture de sa robe dissimulé sur le côté de son torse. La robe glissa le long de son corps et tomba sur ses pieds, découvrant la magnifique forme d’Èva. J’avais déjà deviné qu’elle ne portait pas de soutient gorge. Ces seins fermes me dévisageaient et me défiaient même de ne pas me précipiter vers eux pour les saisir et les licher. Èva me fixaient à nouveau. J’étais figé. Avec une rapidité peu commune, elle détacha les sangles qui retenaient les jarretelles de manière à pouvoir libérer sa culotte. Ce qu’elle fit sans retirer ni les nylons ni le porte jarretelle. Elle portait toujours ces talons hauts ce qui lui faisait des fesses superbes. Elle se retourna ensuite, se pencha vers l’avant, se mis à genoux, plaça ces mains sur la couverture et se tourna vers moi. Aucun mot ne sortis de sa bouche, seulement un regard invitant, remplis de désir et d’amour. Je répondis à ce regard par un léger sourire. Le spectacle qui s’offrait à moi ne pouvait me laisser insensible. Le membre gorgé de sang dans mon pantalon en était le témoignage. Mon veston était resté sur la chaise, je n’avais aucune envie de faire attendre ma bien aimée plus longtemps. Je me libéré de mes vêtement en vitesse ne prêtant aucune attention au chaos que je laissai derrière. Je pris position derrière Èva, glissai ma main de son bassin jusqu’à sa nuque. Je l’empoignai fermement, et sans attendre m’inséré en elle. Sa chaleur et intérieure était ...
    ... sublime. Sa chatte humique et gonflée m’accueillait avec sa douceur habituelle. Mes mouvement s’accélérait graduellement, tentant de créer me maximum d’effet à chaque passage. Èva demeurait muette mais les contraction de son dos trahissait son plaisir. Cette position de conférait tout le contrôle dont j’avais besoin pour lui donner son 2e orgasme. Je pouvais la stimuler au maximum sans succomber au plaisir en premier, il n’en était pas question. Je baisait la femme de mes rêves, la femme de ma vie, au milieu de cet atrium, sous le regard des statuts et des peintures, climax d’une soirée magique. Les gémissements timidement émis par l’objet de mon désir résonnaient maintenant dans toute la pièce. L’acoustique de cette salle majestueuse était très particulière. Je sentais que mes efforts allaient bientôt être récompensés, le gémissement étaient remplacé par de petits cris, les spasmes dorsaux m’indiquaient également l’ampleur du plaisir communiqué. Les claquements de nos corps résonnaient dans une bonne partie du musée. Je ne pouvais plus tenir bien longtemps, je ne pourrais tenir ce rythme bien longtemps, elle devait venir. Mes vœux fut exhaussés, ce mais se crispèrent en serrant la couverte bien fort, son dos s’arquas, elle plongea sa tête entre ces bras tendues collant presque ces épaules vers le sol. Mais je n’en avais pas fini avec elle. Je la laissai savourer ce moment ralentissant mes mouvements et lâchant prise momentanément. Lorsque je sentis ces muscles se relâcher, ...