1. Un quartier accueillant


    Datte: 26/03/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... chuchote-t-elle. Doucement, je n’ai pas envie qu’on nous voit ainsi. J’arrive à lui palper une fesse, nue, mais la raison et sa soudaine peur me font reprendre mes esprits. - Désolé, fis-je. - C’est pas grave, c’était bien le but recherché, dit-elle. Mais je ne te pensais pas si téméraire. Je bandais dur, et elle a dû s’en rendre compte à ce moment-là ; elle a posé sa main sur mon sexe à travers mon jean. Elle l’a massé doucement quelques secondes et m’a dit : - Il faut vraiment que j’aille au travail maintenant, mais je suis contente de voir que je t’excite à ce point. Excité, je l’étais, et j’avais tellement envie d’elle que j’en voulais plus. - Vous n’avez vraiment rien dessous, lui demandais-je alors, toujours abasourdi. Elle jeta alors un rapide coup d’œil autour de nous, puis retroussa sa jupe en se dandinant. J’avais le cœur au bord des yeux. J’ai alors découvert petit à petit ses magnifiques cuisses, jusqu’à son sexe parfaitement lisse. - Je suis folle de faire ça, s’est-elle alors exclamée en rajustant sa jupe. Mais qu’est-ce que tu me fais faire ! Je la regardais alors remettre sa jupe d’aplomb. Une fois finie, elle me fit un smack et me dit « à demain » avant de reprendre son chemin. Autant dire que je n’ai pas été productif de toute la journée. Je n’attendais qu’une chose, la rencontre du lendemain matin. Le soir je suis allé promener le chien et suis passé devant chez elle ; j’ai essayé de distinguer quelque chose par la porte-fenêtre à l’étage, qui donnait - ...
    ... je supposais - sur sa chambre, mais en vain. Le lendemain, pressé de la voir, je suis à 7h20 au coin de la rue. J’attends, impatient. 7h40 je m’étonne de ne pas l’avoir vue. 7h50, toujours personne. Je suis obligé de partir, étant déjà en retard. Je suis déçu mais je me fais une raison ; je suis sûrement allé trop loin la veille, elle a pris peur. Elle est mariée et on ne se connait pas finalement. Le week-end arrive, et en revenant d’une baignade improvisée, je la croise avec son mari. Je la vois s’empourprer quand elle me reconnait, gênée ou inquiète de ce qu’il pourrait se passer. Je dis bonjour comme on dirait bonjour à des voisins et continue mon chemin. Je ne peux pas m’empêcher par contre de me retourner sur son passage : elle porte un joli short rose qui une fois encore met son joli fessier en valeur. La semaine passe sans que je la croise ; elle va travailler en voiture (vu le peu de chemin qu’il y a de chez elle à son boulot c’est vraiment pour m’éviter). Je me fais une raison et décide de me faire discret. La semaine d’après je la recroise le jeudi – j’ai appris plus tard que son gamin avait besoin de la voiture et que son mari avait pris leur seconde voiture. Ne sachant comment réagir je reste de l’autre côté de la rue. Elle me fait un timide signe de la main et continue son chemin. Je ne la quitte pas des yeux, elle porte un pantalon fin couleur crème avec un débardeur rouge ; son pantalon n’est pas spécialement moulant, mais il lui moule suffisamment le cul pour ...
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