Fin juin
Datte: 27/03/2021,
Catégories:
ff,
fbi,
amour,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
massage,
intermast,
Oral
initff,
... Je grignote la naissance d’un sein avant d’en emprisonner la pointe entre mes lèvres. C’est une délicieuse sensation que je ressens, de lui donner du plaisir. Je continue de descendre avec ma bouche, lentement, en direction de sa fente, désormais trempée sous mes doigts. Je me rapproche de plus en plus, en déposant des baisers, plus ou moins humides, en laissant traîner ma langue sur le velours de sa peau, pour enfin arriver au mont de Vénus. J’hésite quelques secondes, puis me laisse enivrer par son odeur, son plaisir. De la pointe de la langue je viens goûter à son sexe, dont les parfums marins me surprennent. C’est encore plus agréable que je ne le pensais, et je savoure le nectar qui s’écoule. Je varie la profondeur avec mes doigts, le rythme et de ma langue je viens appuyer sur son clitoris, puis tapoter, frétiller, sucer, aspirer. Je prends énormément de plaisir à la faire décoller et ses petits gémissements me confirment qu’elle aime ce que je lui fais. Durant de longues minutes je joue avec elle, et parfois elle me donne des indications que je suis à la lettre. D’un seul coup, elle finit par se tendre comme un arc en lâchant long « oui » qui me fait stopper net toutes mes caresses, buccales et digitales. Son vagin s’est resserré autour de mes doigts et des spasmes la secouent. Je finis par retirer mes doigts en douceur et m’allonge sur elle en l’embrassant tendrement. On finit par s’endormir dans les bras l’une de l’autre. Les quelques jours qui suivent nous ...
... continuons à nous découvrir, à se faire l’amour, à nous appartenir, à nous aimer… Mais le retour à la réalité est brutal, violent, les au-revoir déchirants, je n’ai pas envie de la quitter, je la veux autant qu’elle me veut. Mais on doit se quitter. Quelques semaines plus tard, un matin, je reçois un mail de sa part, elle me fait ses adieux. Lorsque je reçois son mail, je m’effondre à genoux, en larmes, j’ai envie de hurler, de cogner dans les murs, mais je ne peux pas, j’ai deux petits êtres dont je dois m’occuper, et ils ne peuvent pas me voir dans cet état. Alors je respire un grand coup, et je revêts ce masque que je sais si bien porter. Ce jour-là, je dois bien l’avouer, elle m’a brisée, un peu plus que je ne l’étais déjà, laissant une cicatrice de plus, qui ne partira jamais, une trace de son passage, aussi furtif fut-il, de son amour, fugace, vertigineux, tendre, passionné, profond, infini. Je ne sais pas si j’aurai le bonheur de la revoir un jour, mais je l’espère, de tout mon être, de tout mon cœur. Pour rallumer les étoiles dans mes yeux noyés de larmes, retrouver ses bras, sa tendresse, sa douceur, son sourire. Je finirai probablement par me faire une raison, mettre de côté dans un coin de mon cœur ces souvenirs, que je garde précieusement, tout comme chaque mail échangé, chaque photo, chaque conversation, auxquels je m’accroche, comme un naufragé se raccroche à une bouée. Ce n’était peut-être pas le moment pour nous deux, et à une période différente, nous aurions pu tout ...