1. Fin juin


    Datte: 27/03/2021, Catégories: ff, fbi, amour, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, massage, intermast, Oral initff,

    ... être à la hauteur. Je sais pourtant pertinemment qu’elle ne me forcera pas et qu’elle me laissera aller à mon rythme. Elle a dû voir dans mes yeux que j’étais un peu anxieuse et elle commence à faire le pitre, pour me détendre. Elle finit par me demander : — Tu veux prendre un bain tranquille ? Je peux te laisser un moment, et si tu en as envie tu m’appelles. J’hésite un instant, d’un côté ça pourrait effectivement me faire du bien, d’un autre j’ai envie de profiter de chaque seconde avec elle, ces moments sont tellement précieux que je ne veux pas perdre une minute, elle me fait tant perdre la tête, la raison, que chaque fois que je pose mes yeux sur elle mon cœur s’emballe et je ne contrôle plus grand-chose. Moi qui d’habitude ne laisse rien transparaître, avec elle je ne sais pas pourquoi, mais j’ai envie de tout donner, de lui laisser la clé de mon cœur, de ma tête, de tout mon être. Sa voix ma rappelle à la réalité : — Chaton ?— Oui, euh, non, reste avec moi, attends. Je vais fouiller dans mon sac et en sors un sachet avec des bougies, que je dispose un peu partout dans la salle de bain. Je prends mon téléphone et mets une playlist, « Cigarettes after sex », puis commence à faire couler l’eau du bain. Tout du long elle m’a regardé faire, sans un mot, seul un sourire conquis trahit son émotion en cet instant. Pour la première fois depuis la gare, je la sens moins sûre, plus déstabilisée, plus vulnérable aussi. Je sens que mes jambes tremblent, mais j’essaye de ne pas ...
    ... le lui faire voir, tout en m’approchant d’elle. Je prends son visage dans mes mains, et sans la quitter des yeux, l’embrasse, avec tout mon cœur, ma tendresse, la passion qui m’anime. Ses mains me serrent contre elle, j’aime vraiment ce contact, sentir ce corps identique au mien me caresser, m’échauffer. À ce moment-là, tout devient intuitif, instinctif, naturel, je laisse mon désir, mes émotions, mes envies prendre le pas sur ma tête, je laisse alors mes mains glisser sur son corps, le découvrir, l’appréhender, me l’approprier. De son visage mes mains descendent dans son cou, puis sur ses épaules, sur son buste, ses seins, son ventre, ses fesses. J’effleure plus que je ne caresse, mes gestes sont hésitants, fébriles, mais elle me laisse faire à mon rythme, sans me bousculer. Une main remonte sur son buste et je la pose sur son cœur, j’ai envie de sentir ses battements sous ma paume. Sans cesser de nous embrasser, toujours avec la même douceur, je sens ses mains me parcourir, lentement, sans précipitation, pas comme un homme le ferait. Elle m’offre une forme de douceur plus primordiale, plus réparatrice. Elle a fini par baisser les bretelles de ma robe, qui est tombée au sol, a dégrafé puis retiré mon soutien-gorge et sans un mot elle s’est agenouillée devant moi, pour faire glisser mon tanga à mes chevilles. Elle s’est tournée, a fermé le robinet et lorsqu’elle a posé de nouveau ses yeux sur moi, j’y ai vu des étoiles, elle a étudié chacune de mes courbes, avec attention, ...
«12...567...11»