Dépossession - 3
Datte: 27/03/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Cela faisait maintenant une semaine que Céline me faisait porter une cage de chasteté. Cela faisait également une semaine que j’arrivais systématiquement à la faire jouir avec ma bouche et qu’elle était satisfaite de mes progrès en la matière. Au point où j’avais pu lui apporter du plaisir tous les jours depuis mon encagement. De mon côté, la cage m’avait rendu bien plus docile. J’avais pris l’habitude de lui envoyer des petits mots souvent, dans l’espoir d’une réponse. Mon absence d’orgasme me frustrait et je pensais au sexe en permanence. Un simple frottement avait raison de mon humeur et je replongeais dans mes pensées remplies de fantasmes de libération de mon pénis. Céline avait pris soin depuis cette fameuse journée de disposer les clés de ma cage de chasteté à son cou, de sorte à ce qu’il trône au début de son décolleté. Certains amis lui avaient posés des questions sur cette nouvelle coquetterie, elle répondait à chaque fois que c’était la clé du coffre d’un joli cadeau que je lui avais offert. Ce n’était pas complétement faux. Privé de mon sexe, je commençais à avoir la sensation de lui appartenir. Je savais que mes comportements attentionnés ne pourraient qu’avancer la date de ma libération : j’avais l’espoir que dans les prochains jours je pourrais profiter de nouveau de mon chibre. C’est ce qui arriva une semaine plus tard encore, un mercredi soir ; nous étions tous les deux ma chambre quand elle ouvrit la fameuse cage. Mon sexe, prêt à grandir, pris ...
... soudainement quelques centimètres et me fis mal à en crever. Céline s’en approcha cérémoniellement (j’attendais ce moment avec une impatience terrible), s’en apparait, et ne put faire qu’un aller-retour : je venais de misérablement juter dans sa main, au bout de quelques secondes. Cette jouissance sans orgasme mis court à ma libération, et je retrouvai rapidement ma cage devenue mon quotidien. Je pris le temps ensuite de la branler elle : - Mon pauvre petit encagé, on dirait que tu n’es plus fait que pour ça, me plaint-elle avec de la malice dans son regard. Je me contrains à lui sourire comme depuis semaine, mais j’étais terriblement déçu. La semaine suivante, nous réessayâmes. Ma patience avait été plusieurs fois mise à l’épreuve, et j’étais décidé à tenir le coup un peu plus longtemps cette fois. Cette fois cependant, ce fut pire. Une fois sortie de la cage, ma bite cracha tout ce qu’elle put sans attendre ne serait-ce qu’une caresse. Et ce fût tout. - Non, je ne ferai pas une croix sur cette idée de chasteté, mon petit encagé. Nous avons fait un deal, nous restons ensemble si tu portes cette cage. Maintenant assume. A moins que tu souhaites qu’on se sépare ? Je n’en avais pas envie du tout, alors j’ai changé de sujet de conversation, m’intéressant à l’actualité de ses amies. Et c’est progressivement que je perdis du pouvoir dans le couple. Je préparais plus souvent les repas, payait plus souvent les dépenses, j’appelais parfois à sa place pour ses rendez-vous, mais parlait beaucoup ...