Pascale, quel souvenir !
Datte: 27/03/2021,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
massage,
intermast,
pénétratio,
uro,
nostalgie,
amourdura,
consoler,
... me montra une porte : — Tu as une salle de douche et des toilettes, tu trouveras des serviettes, je te quitte un moment. Je me glissai sous la douche et puis dans le lit. Pascale arriva quelques minutes après, en robe de chambre. Elle la laissa tomber à ses pieds, entra dans le lit en nuisette et ferma la lumière. Elle se colla contre moi. Nous nous embrassâmes longuement. — J’aime ton corps mince.— J’aime le tien pulpeux.— Arrête de te moquer de moi, je suis affreuse.— Ne dis pas de bêtise, tu es belle et excitante. Je me jetai sur ses seins que je palpai et embrassai longuement. Je descendis sur son ventre puis je glissai mes lèvres vers son pubis fourni et doux. Un instant après je donnai un petit coup de langue, elle réagit par un petit cri. — Je t’ai fait mal, tu n’aimes pas ?— Si, j’adore mais va doucement, apprivoise-moi. Je commençai par des longs baisers sur sa vulve ouverte, je glissai un doigt puis deux, j’explorai son intimité. Quand je mis trois doigts, elle gémit de plaisir, et je commençai à aller et venir lentement. Elle poussait son ventre vers ma main, ses petites plaintes confirmaient son plaisir. Quand je glissai un quatrième doigts, elle gémit de plus belle et son corps s’agita, son ventre se souleva en cadence, elle m’offrit un superbe orgasme. Elle m’embrassa longuement, m’invita à me coucher sur le ventre, me massa les épaules, le cou, le dos, les reins et les fesses. Sa bouche, ses seins remplacèrent ses mains. Elle me fit tourner, m’offrit une ...
... longue fellation. Pascale savait y faire, elle suçait le gland, puis prenait la verge, sa langue tournait et retournait, ses mains agaçaient mes bourses, mon anus. Je l’invitai à arrêter, elle refusa, reçu mon plaisir au fond de sa gorge et l’avala. Nous restâmes longtemps enlacés puis elle se leva et me laissa, il était deux heures du matin. Je m’endormis lourdement. Le lendemain je me réveillai tôt, un léger bruit m’assura que Pascale était levée. Je me préparai et, ne voulant pas m’attarder, je bus une tasse de café et pris congé. — Cet après-midi les enfants sont au tennis, si tu veux venir nous serons seuls.— Avec plaisir, vers seize heures. C’est porteur d’un bouquet de roses que je sonnai l’après midi. À peine entré je me jetai sur elle avec passion. Elle fit mine de résister, ce qui décupla mon désir. C’est sur la moquette du salon que je la pris sans ménagement en levrette. J’avais sous les yeux ses fesses épanouies, son anus rose, une bonne odeur de vulve gourmande montait de son sexe trempé. Elle se mit rapidement au diapason de mon désir, ses fesses dansaient merveilleusement. — Tu aimes çà, serre bien ma queue, caresse mes couilles !— Oui, prends moi bien, oh oui j’aime. Je la limai longtemps, j’étais en forme, sûr de moi. Elle se mit à crier, je sentis ma verge serrée comme jamais. Elle partit dans un bel orgasme. Quand elle reprit ses esprits je la plaçai sur le canapé les fesses sur le bord et je relevai ses jambes. Sa vulve s’offrait impudique, elle mit mon sexe ...