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Eté 1996 (1)
Datte: 27/03/2021, Catégories: Hétéro
Je vais vous raconter ce qui s’est passé l’été 1996. L’été de mes 19 ans est certainement un des plus marquants de ma vie. Cet été là, comme depuis déjà trois ans, j’étais animateur en colonie de vacances. Le besoin d’argent de poche me forçait à travailler les deux mois d’été dans une colonie dans le sud de la France. Plus exactement dans le Gers. Ce n’était pas toujours facile de passer deux mois loin de sa famille et de ses amis mais cet été 1996 était plus simple que les autres pour moi. J’avais réussi à convaincre ma cousine de rejoindre l’équipe d’animation. Ma cousine s’appelle Ludivine, elle a 20 ans cette année-là. De taille moyenne elle a de jolis petits seins et un très joli cul bien bombé. Nous sommes très proches l’un de l’autre. Elle m’a toujours amusé car elle paraît réservée au premier contact mais a beaucoup de caractère dès qu’elle est en terrain connu. Elle est surtout bien plus libérée qu’il n’y paraît. Elle parle très librement avec moi de ses expériences passées et de sa vie de couple actuelle. J’avoue être souvent déçu de ne pas croiser des filles aussi ouvertes d’esprit que ma cousine. En ce début de mois de juillet nous emmenons un groupe de 20 ados en sortie à la piscine municipale. Nous somme quatre animateurs à organiser l’activité et c’est à pieds que nous nous rendons sur les lieux de baignade. Deux animateurs devant et deux en queue de peloton. Je suis devant en binôme avec Stella, une petite rouquine qui a un cul bien large à tomber. Ce ...
... dernier est très très bien mis en évidence dans ce short en jeans qui est visiblement trop moulant pour être à sa taille. Je fais tout pour être en léger retrait d’elle et lui reluquer le cul sans me faire griller. Je ne suis pas le seul à avoir remarqué son magnifique arrière train car sur les dix garçons inscrits, sur le groupe de vingt, 6 sont dans les premières places du peloton à assister au même spectacle que moi. Mes pensées commencent à divaguer et je me mets à imaginer un scénario digne d’un hot d’or dans lequel je craque le short de Stella pour glisser entre ses grosses fesses ma queue déjà bien dure….. — Quentin,….., Quentin , tu rêves ou quoi ? Il faut traverser on est arrivés. — Ah oui oui pardon. — Si c’est pour rien capter vaut mieux être en fin de peloton ! me hurle Ludivine qui fermait la marche avec James le quatrième animateur. Nous rentrons dans la piscine et arrivons aux vestiaires. Deux rangées de cabines individuelles ajourées en haut et en bas avec le principe des deux portes. On rentre d’un côté, on ressort de l’autre. C’est bien mais c’est toujours le bon moyen de perdre un enfant distrait en route. Il y a du monde on est nombreux, résultat pénurie de cabines. — Pour gagner du temps, on envoie Stella et James avec les premiers enfants. On attend que tout le monde passe et on y va ensuite pour être sûr de laisser personne dehors. (Ludivine) — Ok ! Dis Stella en prenant la première cabine qui se libère devant elle. — Je suis aussi (James) On oriente les ...