L'invasion Ch. 14
Datte: 28/03/2021,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... fessée. A un moment une main empoigne mes testicules et les tire très fort vers le bas. Je hurle. — Doucement, intime Sonia, il n'est pas vraiment puni aujourd'hui. — Je voulais lui montrer ceci, dit la femme sans que je voie. Mais je sens qu'elle accroche l'anneau que j'ai à une chaine qui tire le tout vers le bas. — C'est vrai, me dit Sonia, il faut également attacher ton anneau pénien. Il est tiré vers le bas, ce qui expose tes testicules aux punisseuses qui peuvent également les frapper. Une punition, ce n'est pas rien! Il faut que ce soit très fort pour que tu n'aies plus jamais envie de recommencer. J'éprouve à nouveau ce sentiment de peur et d'impuissance. Si je me retrouve ici pour une vraie punition, je vais souffrir, alors que maintenant, j'ai déjà mal, j'ai déjà peur. — Tu verras, me dit encore Sonia, être ici, c'est pire que l'enfer. Tu n'auras aucun moment de répit. Tu es seul à subir une punition, mais il y a des dizaines de gardiennes qui peuvent se relayer. Et qui se disputeront même pour pouvoir te traiter. Je reçois encore quelques coups. Quand cela atteint mes testicules, c'est vraiment douloureux. Je tente de ne pas crier. — Allons, tout cela n'est rien, tu dois être capable de subir beaucoup plus. Donc, pendant que l'on prévient ta tutrice, tu seras attaché ici, et frappé jusqu'à notre arrivée. Nous analyserons la situation et nous ferons expliquer les faits par celles qui les ont découverts. Si c'est bénin, je statuerai sur ton sort ici même, et tu ...
... seras puni dans cette pièce. Si c'est grave, tu seras envoyé devant la juge. Un mâle n'a pas droit à une avocate, tu seras emmené nu et enchainé. Tu entendras les accusations, tu pourras si tu le désires répondre aux accusations, mais en général, cela aggrave ton cas, et ensuite, tu auras la sentence. Si tu dois faire de la prison, c'est ici. Sans arrêt sur les engins de cette salle. Elle fait un signe et les femmes arrêtent les coups. Je sens qu'on me libère. Je suis remis debout mais des mains me gardent fermement. — Mettez-le dans la cage, dit Sonia. Cette fois, on m'attache d'autres anneaux aux chevilles et aux poignets, on me place dans une cage et on m'y accroche en me gardant couché. C'est inconfortable, je suis couché sur de l'acier. La cage est fermée et montée à quelques mètres. Les femmes en uniforme noir viennent me voir, elles ricanent, un sourire mauvais, comme si elles m'en voulaient. J'ai peur, s'il m'arrive quelque chose ici, je serai vraiment en mauvaise posture. — Tu passeras tes nuits ici, me dit Sonia. Je sais, ce n'est pas confortable, mais quand on est puni, c'est pour une raison. Elles me laissent ainsi un bon quart d'heure, dans le noir, seul. Puis elles reviennent et me descendent de la cage. On garde mes anneaux pour me montrer d'autres engins de punition. — Il n'y a rien de bien méchant, pas d'engins de torture comme tu pourrais le croire. Les punitions sont très sévères. Elles m'attachent debout en extension, et une femme approche avec une plume. — ...