Un parfum.... d'autrefois (8)
Datte: 28/03/2021,
Catégories:
fhh,
fplusag,
jeunes,
Masturbation
Oral
init,
... abasourdi, se laissa faire. D’autant que la jeune femme lui caressait les couilles et passait consciencieusement sa langue sur les terminaisons nerveuses à la base du gland, augmentant notablement son plaisir. Les gouttes de jute se succédèrent, rapides et violentes, mais elle ne cessa sa succion que lorsque la source fut tarie. Enfin elle releva la tête. — Vincent n’est pas là ? demanda-t-elle sur un petit ton bien innocent. Didier, ahuri, ne savait que répondre. Il ne songea même pas à refermer le cahier ou à cacher ses attributs. Il regardait la jeune femme, les yeux ronds, infiniment surpris, mais pas encore gêné. Elizabeth profita de cette sorte de stupeur pour parler avant qu’il ne réagisse. — Ah ! Tu admires les photos pornos de Vincent. C’est très excitant, n’est-ce pas ? Je comprends que tu aies eu envie de te masturber avec ça. Dis donc, elle est pas mal, celle-là ?— Qu… qui ? Balbutia Didier rouge de confusion.— Ta queue, mais pour l’instant, elle débande. Attends, laisses-moi faire ! Cette fois Didier eut une réaction de gêne. Elizabeth ôta doucement les mains qui tentaient de cacher le sexe en pleine déroute. Elle le prit délicatement entre les siennes, découvrit le gland de sa gaine de peau, et commença à exciter les terminaisons nerveuses, des doigts et de la paume. — On… On pourrait nous voir ! Je … Vincent va revenir et… Et il va m’engueuler !— Vincent ? Il sera ravi.— Ravi ?… Mais, je… Que je…— Que tu sois en train de faire des choses sur son lit avec moi ? ...
... Non, il ne sera pas choqué ! Même si lui aussi, il me baise, il n’est pas jaloux du tout. Et moi, j’ai envie de toi, jeune homme. À ton âge, ta belle queue doit pouvoir servir plusieurs fois de suite, non ? Elizabeth, en un tournemain, retira le pantalon et le slip déjà descendus à mi-mollets et fit rapidement passer le polo du jeune homme par dessus sa tête, avant de s’attaquer à ses propres sous-vêtements. Soutien-gorge et slip furent rapidement ôtés. Gêné, Didier n’osait pas regarder le corps nu à demi-allongé sur le lit. Ce fut Elizabeth qui l’attira. — Regarde-moi ! Ne suis-je pas belle? N’as-tu pas envie de faire l’amour avec moi ?— Oh, si Madame, j’ai très envie, répondit Didier qui reprenait un peu de contenance.— D’abord tu ne m’appelles pas Madame, mais Elizabeth, comme d’habitude. Ensuite, ne reste pas à ne rien faire, occupe-toi de moi. Mes seins meurent d’envie d’être caressés, et ma chatte aussi. Allez !… Oui c’est ça, embrasse bien les bouts. Mets ta main là, entre mes cuisses, caresses mon petit chat. Sur le clito, là, oui comme ça. Donne-moi ta bite, que je la tripote un peu. Je vais la faire bander tu vas voir. Hein, que c’est bon? Tu aimes? Didier ne répondait pas. Son souffle se faisait court. Ses mains avaient pris possession du corps d’Elizabeth, s’émerveillant de la chaleur de l’entrecuisse, de la douceur de la peau, des formes pleines et des seins arrogants. Malgré cela, Elizabeth dut mettre beaucoup de science et de douceur pour redonner de la vigueur ...