Un parfum.... d'autrefois (8) - Histoires de Sexe

Un parfum.... d'autrefois (8)

... Vincent. Et on compte sur toi !— Vous m’invitez à participer? Mais j’ai jamais fait ça ! Et c’est quand ?… Ce sera le soir ? Ca finira tard ?— Ben oui ! On va pas faire ça en cinq minutes.— Mais, je dis quoi à Denise ? Elle s’inquiète quand je rentre tard. Elle dit qu’elle doit veiller sur moi. Et en plus, son mari n’est pas là, elle va être encore plus inquiète. Vous êtes amies Elizabeth ! Difficile de dire que je viens chez vous et qu’elle est pas invitée, non ?— Denise sera invitée, bien sûr. Elle ne supporterait pas de pas participer à une telle fête.— Quoi ? Mais… mais… Si c’est une partouze….Tu veux dire qu’elle aussi participerait ? Qu’elle b… Qu’elle baiserait avec nous ?… Je… Je ne pourrais jamais baiser devant elle ! Et elle ? Elle serait sans doute gênée que je sois là ?— Tu sais, dit Vincent, ta proprio est comme la mienne. Elle est très portée sur le sexe. Il n’y a pas si longtemps, je me la suis faite dans cette maison. Et c’est elle qui m’avait allumé ! Elle m’a carrément mis son superbe cul devant le nez, et après on a baisé. Elizabeth est venue nous rejoindre et nous avons fait une partie à trois. Comme aujourd’hui quoi ! Sauf qu’on avait un homme pour deux femmes. Mais tout ça c’est toujours pour avoir plus de plaisir en baisant. Plus on est de baiseurs, plus on jouit. Didier était abasourdi. Vincent avait couché avec Denise aussi ? — Le salaud ! pensa Didier, y s’embête pas! Mais Elisabeth lui souriait et le rassurait. — Oui Didier, Denise est comme ...

... moi. Nos maris ne nous font plus l’amour, malgré nos besoins et nos envies. Tu es à l’âge où on se fout des conventions. Dis-toi que Denise est une femme qui, comme toutes les femmes d’aujourd’hui veut jouir de son corps. Exactement comme un homme. Et que tu as tout ce qu’il faut pour la combler. Alors oublie la différence d’âge, si elle ne te gêne pas physiquement bien sûr. Oublie son mari que tu vas « faire cocu", si ça lui arrive, c’est qu’il l’a bien cherché. Et en plus, il s’en fiche, c’est sûr. Didier était presque convaincu. Elizabeth l’attira contre elle et l’embrassa sur le coin des lèvres, presque chastement. Mais ce baiser innocent réveilla le désir du jeune homme qui le transforma en baiser brûlant qui chassa toutes ses angoisses. — Vous avez raison, je viendrai. Je suppose qu’au début nous serons un peu gêné. Mais après… L’heure avait tourné, Didier quitta à regrets ses amis et rentra chez sa logeuse, non sans avoir à nouveau embrassé langoureusement Elizabeth et profité de sa nudité pour caresser ses seins. Denise l’attendait et commençait à s’inquiéter, car elle n’était pas au courant des manoeuvres d’Elizabeth. Dès qu’il pénétra dans l’appartement, elle se rasséréna. — Tu rentres bien tard Didier ! Où étais-tu ? Je sais que tu es majeur, mais quand même, tu sais que tes parents m’ont demandé de veiller un peu sur toi ! Le garçon contempla la jeune femme. Elle était très belle et très sexy. Il comprenait que Vincent n’ait pas résisté à ses charmes. Ses cuisses ...