1. Première punition


    Datte: 01/11/2017, Catégories: fh, amour, hsoumis, fdomine, vengeance, dispute, cérébral, chaussures, Oral sm, attache, fouetfesse, init, hsoumisaf,

    Elle avait laissé la porte entrouverte pour ne pas avoir à se déranger quand il sonnerait. Elle était assise sur le canapé, vêtue d’un body de velours noir, d’une veste rouge et de ses bottines. Dès qu’il entra, elle lui dit : — Ferme la porte et déshabille-toi. Après, tu viendras te mettre à genoux devant moi, les mains croisées dans le dos. Tu sais que tu viens pour la punition que tu as méritée, alors tu te tais, sauf si je t’interroge, et tu obéis, ou tu repars tout de suite, c’est clair ?— Oui, Maîtresse. Il se déshabilla avec beaucoup d’empressement. Bon sang qu’il était beau… mais elle ne devait pas se laisser attendrir. Il fut vite à ses pieds. Elle tendit légèrement une jambe : — Embrasse ma jambe, pas plus haut que le genou. Il tendit une main vers son mollet et voulut la caresser doucement. D’un geste agacé, elle repoussa son admirateur avec le talon de sa botte. — J’ai dit « embrasse », j’ai pas dit « caresse », et de toute façon je ne t’ai pas autorisé à décroiser les mains que je sache, remets les dans le dos ! Il obéit. Quelques bisous plus tard : — Maintenant lèche aussi ma botte et ne discute pas ! Il obéit encore… un peu maladroitement et timidement c’est vrai, mais de le voir là, à ses pieds, faire de son mieux pour la satisfaire, ça la faisait déjà fondre… Mais bon, ils savaient bien qu’il avait mérité sa punition, et elle irait jusqu’au bout. — Bien, chéri, on va passer à la vraie punition maintenant… Mets-toi à genoux de ce côté. Elle lui désigna le ...
    ... côté du canapé, à sa droite. Il se releva en silence et se remit en position, là où elle lui demandait. Elle attrapa une boîte à chaussures dans laquelle elle avait préparé quelques petites choses. Elle lui tendit le masque : — Mets ça, reste à genoux, tu remets tes mains derrière le dos, et tu attends. Quand il fut prêt elle se leva, prit les cordelettes dans la boîte. Il l’entendit bouger. — Qu’est-ce que tu fais ?— Maintenant je vais t’attacher les mains. Mais t’ai-je autorisé à parler ?— Non maîtresse, pardon— Alors voilà, pour avoir parlé sans autorisation. Et elle lui pinça un téton, puis tira un peu, puis tourna sèchement. — Aie ! Lâcha-t-il.— Tu feras attention maintenant, j’espère. La main de la maîtresse se fit câline. Elle caressa la joue de son homme, descendit le long de son cou, parcourut son buste : — Tu sais mon cœur, je n’aime pas te faire mal, mais il faut m’obéir. Reprenons où nous en étions… Elle lui attacha assez fermement les mains. Assez pour l’entraver, et qu’il le ressente, mais pas assez pour lui faire mal. Elle lui attacha aussi les pieds et alla se rasseoir. — Bien, penche-toi vers moi maintenant. Il se pencha et elle accompagna son mouvement jusqu’à ce que sa tête rencontre ses cuisses. Comme il était touchant ainsi, nu, les mains bloquées dans le dos, le visage enfoui entre ses jambes. — Alors voilà, ton comportement de la semaine dernière m’a blessée et mise en colère, et comme on a dit l’autre jour, cela mérite une fessée. On peut donc aussi le ...
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