Charlotte ma chérie (2)
Datte: 28/03/2021,
Catégories:
Lesbienne
... que j’aime. –Bien sûr que je peux vous initier au saphisme, j’en rêve depuis que je vous ai vue. –Je le savais depuis le début, c’est donc moi l’objet de tes tourments. –Oui, c’est vous. –Maintenant, tu me tutoies et tu m’appelles Charlotte, même en public, je viens quand même de renifler ton string et de te caresser les fesses, et nous sommes assez proches collaboratrices pour ça. Après notre tête-à-tête au restaurant, personne ne sera choqué et ça sera plus facile pour nous. Et puis, le tutoiement est une tradition du transport routier. –Ok, on se tutoie. –Bon, il est évident que tu ne vas pas pouvoir m’initier ici, tu viens chez moi ce soir, à moins que tu n’aies autre chose à faire. –Tu plaisantes, je serais chez toi immédiatement après avoir pris une douche et m’être changée. –Ok, mais chacune dans sa voiture, et n’oublie pas de prendre de quoi te changer pour demain, mon lit est très confortable, surtout à deux. –Bien sûr. xjdxggyt Je suis sur le point de retourner à mon bureau quand une main se pose de nouveau sur mes fesses et les caresse. Je me positionne pour qu’elle ait accès aux deux sans problème, elle relève un peu ma jupe et palpe mes fesses des deux mains. Elle les soupèse, les caresse, les écarte, les malaxe. Ses mains s’aventurent sur mes hanches, avancent encore un peu, remontent sur mon ventre, redescendent sur mon mont de Vénus et repartent au niveau de l’aine pour descendre le long de mes jambes, remonter à l’intérieur, revenir sur mes fesses et finir ...
... par soulever ma jupe. Deux lèvres viennent poser un baiser sur chacune d’elles. Je suis au bord de l’orgasme, mon cœur bat à deux cents. –La suite ce soir, il faut bosser. Je retourne à mon bureau d’un pas mal assuré, mes jambes flageolent. Arrivée à mon bureau, je m’assieds en écartant bien les jambes, de manière qu’elle puisse voir mon minou lisant, mais je les resserre une fois assise les laissant à peine ouvertes pour que ça ne paraisse pas obscène. Elle en fait autant, ce qui me permet de constater qu’elle est glabre et bronzée. –Tu es naturiste ? –Oui, comme toi à ce que j’ai pu voir. –Oui, moi aussi. Durant toute l’après-midi, je passe mon temps à lui apporter des documents, ce qui lui permet de me caresser les fesses où de glisser sa main à l’intérieur de ma cuisse, sans remonter trop haut, sur mon pubis, sans descendre sur le clitoris mais moi, je ne la touche pas, je ne peux pas, ce serait trop voyant. Ses caresses m’excitent énormément, à tel point que je suis obligé de m’essuyer l’entre jambe de temps en temps sous le regard intéressé et amusé de Charlotte. J’ai hâte d’être dans ses bras, de la caresser, de la goûter, de la boire. Une question me taraude l’esprit, je finis par lui poser. –Tu as dit à table que dernièrement tu avais eu un petit pincement au cœur pour une femme, je la connais ? –Petite futée, tu penses à quelqu’un en particulier ? –Pas particulièrement, mais j’espère. –Eh bien oui, je parlais de toi, comment veux-tu que je ne remarque pas un canon ...