Campus 1
Datte: 29/03/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Première fois
Inceste / Tabou
... alors qu’elle me dit :— J’ai envie qu’on s’assoit !À peine assise, elle posa sa tête contre mon épaule, lovant ses mains graciles contre les miennes.— Tu vois, par exemple, le fait que ce vieux prof me drague ne me laisse pas insensible, et si je t’en ai parlé si vite c’est que j’en retire une certaine fierté.— C’est sans doute naturel !— Je sais pourtant ce qu’il y a derrière… Ce ne peut être qu’une histoire de cul ! Mais cela me touche.— Tu veux dire que tu peux ressentir physiquement de l’attirance pour cet homme ?Elle ne répondit pas… Et c’était en soi une réponse.Bientôt elle se blottit contre moi comme une enfant apeurée. Elle avait replié ses jambes.— J’aime les mecs qui sont doux et qui me donnent l’impression qu’ils peuvent me protéger.— Te protéger contre quoi ?— Je ne sais pas, j’ai toujours été attirée par des mecs plus âgés… ou alors des types comme toi, tendres et solides en même temps.Je ne sais pas si j’étais très solide en voyant sa jupe relevée presque jusqu’à sa fine culotte et en devinant le sillon savoureux de son sexe. Ce qui était de plus en plus solide, par contre, me faisait sentir combien mon pantalon était serré ! Et puis elle a soufflé à mon oreille :— J’ai envie de faire l’amour avec toi…Je ne sais pas si c’est le souffle doux et tiède qui jaillissait de ses lèvres, ou cette proposition inattendue, ou encore la caresse suave de sa petite main qui s’aventurait sur la bosse de mon pantalon, mais je croyais que tout cela était irréel. Cette fille ...
... que j’avais désiré sans espoir depuis des mois, maintenant m’offrait toute la douceur exquise de sa fraîche sensualité. Bref, j’avais envie de la baiser, et il n’y avait plus que cela qui m’obsédait. Le problème, c’est que j’aurais voulu la prendre tout de suite, ici, sur ce banc… Mais c’était impossible à cette heure d’affluence ! Je n’ai pu que répondre bêtement :— Moi aussi, j’ai très envie.Plus audacieuse que moi, elle saisit l’occasion d’une légère accalmie, à un moment où personne ne passait dans l’allée, pour me prendre la main et, alors que de sa langue elle violait littéralement ma bouche, léchant goulûment mon palais, elle glissa mes doigts le long du tissu de sa culotte. Plus doucement encore, elle chuchota :— Sens comme j’ai envie…Je sentis quelques poils fins et soyeux le long de mes doigts avant qu’ils ne soient engloutis dans l’écrin étroit, onctueux et chaud de son sexe. Elle poussa un petit cri aigu, brusquement resserra ses cuisses sur mon poignet et enfonça ses ongles dans ma chair. Bientôt il fallait desserrer l’étreinte et nous marchions main dans la main comme de vertueux étudiants, le liquide gluant de son intimité jalousement enveloppé de nos deux paumes. Après dix minutes de marche où, entre de longs moments de silence, nous nous susurrions à tour de rôle des cochonneries, et où dès que je le pouvais, j’embrassais son cou élancé tout en effleurant de ma main libre l’un de ses seins si fermes, nous accédions à sa chambre.Avant même de souhaiter la voir ...