1. Max repousse mes limites


    Datte: 29/03/2021, Catégories: fh, fhh, extracon, fsoumise, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, attache, extraconj, fsoumisah,

    ... n’était-ce pas ce que j’avais le plus apprécié ? — Je ne sais pas, je ne suis pas sûre.— Qu’est-ce qui te retient ?— Je ne souhaite pas entretenir une relation extraconjugale ; j’ai apprécié notre moment, mais je considère qu’il ne serait pas raisonnable de le renouveler.— Rassure-toi, je ne souhaite pas une relation suivie, tu le sais bien. Je te propose uniquement de prendre du plaisir.— Je ne sais pas ; je ne préfère pas.— À moins que tu n’aies pas apprécié la dernière fois et que tu n’oses pas me le dire ?— Non, ce n’est pas ça du tout ; j’ai un petit peu honte de l’avouer, mais c’était bien.— Moi aussi, j’ai beaucoup aimé. C’est pour cela que je te relance : je voudrais revivre ce moment.— Bien, mais cette fois-ci, si quelque chose ne me convient pas et que je te dis non, il faudra m’écouter !— Bien sûr, si c’est ce que tu souhaites. Tu pourrais te rendre disponible une nuit entière ?— Ça me paraît difficile : en plus de mentir par omission à mon mari comme je le fais actuellement, il faudrait que je lui invente une excuse. Tu sais, je n’ai jamais découché.— Pour ton mari, tu pourrais par exemple devoir suivre une formation de deux jours sur Nice, ou…— Tu penses vraiment à tout pour arriver à tes fins… Tu vas même jusqu’à imaginer le mensonge que je peux balancer à mon conjoint !— Je cherche à t’aider.— Admettons. Et que proposes-tu pour cette nuit ?— Je te propose de te servir le petit déjeuner au lit le lendemain matin après une nuit érotique et sensuelle.— Je vais ...
    ... y réfléchir. Sur ces mots, nous avons rejoint chacun notre poste de travail. Je savais que j’étais sur le point de ne plus pouvoir lui résister. Le soir, à la débauche, Max s’est arrangé pour me suivre jusqu’à mon véhicule. — Alors, tu as réfléchi ?— OK, mais j’ai besoin d’un peu de temps pour m’organiser. On programme ça pour la nuit de lundi prochain, ça te va ?— Bien sûr que ça me va. J’ai passé les jours suivants et le week-end à ne penser qu’à cette future nouvelle rencontre. Seul mon corps était présent lorsque je faisais l’amour à mon cher et tendre, mon esprit était hanté par la nuit à venir. Ce lundi soir, ayant prétexté un déplacement imprévu le mardi nécessitant mon départ la veille, mon conjoint m’a accompagnée à la gare vers 18 heures ; j’étais censée prendre le train une demi-heure plus tard. Après m’être assurée qu’il était bien reparti, comme convenu j’ai envoyé un texto à Max qui s’est empressé de venir me récupérer. Son accueil chez lui a été cette fois plus agréable ; il a pris le temps de me mettre à l’aise, sans aucun contact corporel. Il m’a proposé un apéritif avant de me suggérer un petit plat que j’ai accepté volontiers. Nous nous sommes ensuite installés confortablement sur son canapé, l’un contre l’autre pour nous embrasser langoureusement ; ses mains se baladaient sur mes seins encore vêtus. — On va dans ma chambre ? On sera plus à l’aise.— OK. Arrivés dans sa chambre, nous nous sommes déshabillés en nous observant. Mon cœur commençait à battre ...