Le coup de la panne
Datte: 30/03/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
voisins,
fépilée,
Oral
pénétratio,
... sexe que je sentais humide au creux de ma jambe. Il était plus qu’humide, il dégoulinait de sa cyprine. Sous la caresse d’un, puis de deux de mes doigts, il s’ouvrit encore plus, je sentis son clitoris émerger de ses lèvres, petit bouton dur que je m’empressai de cajoler et de faire rouler entre mon pouce et mon index. Un long feulement partit du fond de sa gorge, son corps se mit à trembler, ses mains crochèrent ma nuque, ses jambes se tendirent d’un coup, son ventre dur se colla au mien. — Viens ! Viens ! Baise-moi ! Prends-moi ! Je n’en peux plus… Viens !— Caroline, tu ne crois pas que…— Viens ! Elle s’adossa au mur du couloir, leva une de ses jambes. Je fléchis légèrement les genoux, me relevai doucement, cherchant le chemin de son sexe ouvert. Mon gland glissa lentement dans ses lèvres. Son clitoris, érigé en gardien, nous indiquait que nous étions en bonne voie. Sans nous concerter, comme si nous avions répété ce geste des dizaines de fois, je la pénétrai en me relevant. En même temps que ses jambes se nouaient autour de mes reins, elle s’empala sur mon sexe tendu qui glissait dans son sexe chaud et humide, butant au fond de sa paroi intime. Nous étions enlacés. Elle avait le dos au mur, mes mains crochées à ses fesses, ses bras noués dans mon dos, mon sexe fiché dans le sien, savourant ce moment de pure extase… — Nous ne sommes pas raisonnables…— Et pourquoi donc ? me demanda-t-elle.— On se connaît à peine !— Et alors ? On est adultes, on sait ce qu’on veut, non ? ...
... me répondit-elle en m’embrassant tendrement et en m’agaçant le bout des seins. Ce qui, sur l’instant me fit réagir, d’autant plus que son ventre commençait à onduler, ses muscles vaginaux se contractant sur ma tige que je sentais gonflée comme rarement. Devant ce traitement qui m’excitait au plus haut point, je la soulevai doucement, la fis glisser sur mon sexe tendu et bien lubrifié par sa cyprine, puis la laissai retomber, mon gland venant heurter le fond de son sexe, lui arrachant un petit cri. Elle pinça mes tétons à chaque fois plus durement, m’excitant encore plus. Mes mouvements devenaient plus rapides, elle rythmait la cadence par ses petits cris. Nos corps ne faisaient plus qu’un. Le rythme s’accéléra, la sueur commençait à perler sur nos corps enlacés et imbriqués. Les muscles de son sexe emprisonnaient le mien qui allait et venait dans son fourreau dégoulinant et brûlant… Je sentis de nouveau son ventre se creuser, un long feulement sortit de sa gorge, ses doigts crochèrent ma nuque, ses narines se dilatèrent… — Viens… Maintenant ! Viens ! D’un dernier coup de reins, je la soulevai et la laissai retomber sur mon sexe dressé, m’abutant en elle. Je sentis ma sève jaillir dans son sexe en longs jets qui se déversèrent dans son ventre qui se contractait à chaque giclée, l’agitant de soubresauts. Sa tête dodelinait, ses yeux étaient grands ouverts, sa respiration haletait… Son feulement devint plus grave et de plus en plus doux, sa tête se lova dans mon cou, sa joue se ...