LA PISCINE
Datte: 29/06/2017,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... Tantot le chaud écrin, dans lequel je coulisse sans peine, et tantot, le passage « à l’extérieur », qui rafraichit et fait redescendre la tension. Après quelques minutes, nous nous séparons et Véronique se dirige vers l’extrémité du bassin. Elle s’asseoit sur une des marches et écarte les jambes pour que je m’y immisce et vienne la pénétrer. Les coudes sur les degrés supérieurs, elle reçoit mon assaut avec un ronronnement de Chatte. Après mes exploits de l’après midi, je ne suis pas prêt à venir , et je peux la tamponner longuement, lui donnant un premier orgasme. Elle se rend vite compte que je n’ai pas débandé, Elle se retourne alors et se positionne à quatres pattes, son petit postérieur, dépassant à peine de la surface. Je ne me fais pas prier, et je viens butiner son abricot déjà ouvert. Je pousse ma langue dans sa chatte, et viens lécher son clitoris. Elle pousse son cul vers moi , et je lui enfonce deux puis trois doigts que j’agite dans sa vulve. _ « Hummm, je suis chaude, tes doigts ne suffiront pas. » Le message est on ne peut plus clair. Je viens remplacer mes doigts par mon chibre bien tendu. Elle est trempée. Je la prends par les hanches et la pistonne énergiquement, dans le clapot de la piscine. Elle glisse une de ses mains entre ses jambes pour caresser mes bourses. Elle gémit de plus en plus fort. J’introduis mon index dans son fondement et accompagne avec, le mouvement de notre copulation. Les gémissements se transforment en râles ; Son petit trou ...
... m’absorbe si bien que j’y ajoute mon majeur. Là investie devant et derrière, elle entame son chemin vers une autre jouissance. Bringuebalés par cet ouragan de désir qui nous emporte, nous ne somme plus que deux bêtes en rut qui cherchent leur plaisir. Mes cris se joignent à ses ràles, mes halètements rythment ses gémissements, mon tysonnier est en feu et s’en va secouer la braise dans son antre pour faire jaillir la flamme. - « Waow, c’était quelque chose ! » me dit elle après que j’ai déposé un baiser sur sa nuque. Nous achevons de monter les marches pour sortir du bain, et nous dirigeons vers les transats, quand Véronique s’arrète. - « Tu as dû bien en profiter cet après-midi » - « Bof, » réponds-je, « j’ai nagé, je me suis bronzé. Ah, Sofia est passée se baigner aussi. » Je pense habile de ne pas mentir sur ce point, car ladite Sofia, bonne copine de Véronique, pourrait lui en parler. - « Et, elle est bonne ma copiné ? » - « Je ne vois pas ce que tu v… « (en me retournant, je vois que Véronique, tient à la main, le mini-slip de bain de Sofia. - « Tu sais, elle a voulu se changer », dis-je en cherchant une échappatoire - « Elle t’a fait le coup du maillot mouillé ? » - « Mais, comment… » - « Ne cherche pas, elle faisait ça déjà au collège. Ce qu’elle adorait, c’était se faire enculer. » - « Mais Véro, je t’assure… » - « Comme c’est un plaisir que je te refuse, j’espère que tu l’as bien défoncée. » - Je la dévisage stupéfait. - « Je ne suis plus une oie blanche, tu sais, mais j’ai ...