1. Vive les sports d'hiver


    Datte: 30/03/2021, Catégories: ff, ffh, couplus, hépilé, fépilée, vacances, fdomine, humilié(e), vengeance, rasage, Oral jeu,

    ... Allez, elle en a au moins pour une heure, tout le monde fait ses courses à cette heure si. Si on se dépêche, on a le temps d’un petit câlin vite fait. En plus je suis sur que tu en as envie autant que moi. Et puis de toute façon c’est ça ou abstinence pendant quinze jours . . .— Arrêtes … S’il te plait … Tu m’excites … Profitant de ce moment de faiblesse et de notre relative intimité du moment, je l’ai embrassé dans le cou, caresse qui l’a toujours fait craquer. À cet instant, j’ai sentis qu’elle se laissait aller. Elle se détendait. Profitant de cet avantage, je lui ai enlevé son gros pull, mes mains exploraient chaque centimètre de son corps. Elle répondait de plus en plus fougueusement à mes baisers. Lorsque ses mains se sont activées pour m’enlever mon pantalon de ski, j’ai su que j’avais gagné. — Hummm, c’est bon, il y a longtemps que tu ne t’es pas montré si « persuasif », me dit elle.— Ça doit être l’air de la montagne qui me rend fou de toi.— Dépêches toi, avant qu’elle arrive. A peine sa phrase achevée, elle s’écarta de moi pour se déshabiller en toute hâte. J’en fis de même, et pendant que j’enlevais mon caleçon, elle m’avoua : — Tu sais, j’ai eu envie de toi toute la journée. Cet après-midi, sur le télésiège, je m’imaginais que tu me léchais. J’en ai mouillé toute la journée.— Tu déconnes.— Non ! Regarde mon string. Elle me tendit son string, et je pus constater qu’il était effectivement maculé de mouille plus ou moins sèche. Ses désirs (surtout ceux-là) étant pour ...
    ... moi des ordres, je me suis fait un devoir de la satisfaire, et c’est tout naturellement que nous nous sommes retrouvé en 69. Je ne sais pas si c’est l’air de la montagne qui l’avait mise dans cet état là, mais elle ne m’avait jamais aussi bien sucé. Son clitoris était tout dur, et elle se le frottait sur ma langue et mon visage en gémissant. Nous étions sur le point de jouir lorsque Véronique est entrée. C’est entièrement nu que nous nous sommes réfugiés dans la salle de bain, pour reprendre nos esprits. — C’est malin, et on fait quoi maintenant ? me dit ma femme. Toi et tes idées, je savais bien que l’on n’avait pas le temps.— On se rhabille et on fait comme si de rien. Véronique n’est plus une enfant et elle peut comprendre, et puis tu en avais aussi envie que moi, non ? Lorsque nous avons été rhabillés et que nous sommes sortis de la salle de bain, Véro finissait de ranger les commissions dans la cuisine. — Je m’excuse, nous dit elle, j’aurai du frapper avant de rentrer, mais je ne pensais pas que vous … Enfin … Euh …Je suis vraiment gênée …— C’est bon, n’en parlons plus répondis-je ça ne ferait qu’augmenter notre malaise. C’est notre faute.— Tu dois nous prendre pour des obsédés, maintenant.— Mais non, Océane, pas du tout, je sais ce que c’est. Il y avait comme un froid entre nous, heureusement Véronique avait acheté quelques bouteilles d’alcool, l’apéro nous a vite rendu notre bonne humeur, et la discussion a dérivé sur le sexe. Quelques verres aidant, Véro nous a avoué ...
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