1. Un chef d'entreprise pas comme les autres


    Datte: 30/03/2021, Catégories: fh, Collègues / Travail amour, pénétratio, init,

    ... que son bras entre dans le mien et le mien dans le sien, j’en suis très troublée, de plus jamais je n’ai connu ces sensations de toute ma vie. Je l’invite à prendre une consommation, nous nous asseyons l’un en face de l’autre. Je lui parle mais mes yeux sont captivés par les siens, je ne parviens pas à détacher mon regard et pire encore, je plonge dans ses yeux et je m’y perds. Je ne vois plus mes invités et je dois faire un grand effort pour revenir avec les pieds sur terre. Le lendemain ou surlendemain, je pars pour deux semaines en vacances. Sur la route je ne cesse de penser à cet homme. Ces vacances me permettraient de prendre du recul et d’analyser cette troublante situation. Je trouvais qu’il avait des défauts physiques, il est certain que je ne me serais pas retourné sur ce genre d’homme mais je n’étais pas non plus un top modèle. Mais je trouvais qu’il avait beaucoup de charme et ce qui m’attirait le plus en lui c’était son regard et la force de caractère qu’il dégageait. Mais… Il y avait beaucoup de mais. Je suis très complexée et je n’ai aucune expérience sexuelle, en plus je suis plus âgée que lui. Je suis persuadée qu’avec son charme, il peut « avoir » de plus belles et plus jeunes femmes que moi. Je rejette donc la possibilité d’une liaison avec cet homme qui a éveillé en moi l’envie. Durant cette première semaine de vacances, il m’envoie des messages. A-t-il perçu mon trouble ? J’ai l’impression de lui plaire, je commence à observer les femmes autour de ...
    ... moi, dans les boutiques, sur la plage ce que j’ai pas pour habitude de faire et je dois m’avouer que je ne suis finalement pas si moche. Ma fille avait constaté mon trouble et me dit alors que je faisais ce que je voulais dans ma vie mais de ne pas laisser passer un bonheur possible. Au bout d’une semaine, je n’en peux plus. Cela en devient obsessionnel, je décide donc d’écourter mes vacances. Il faut que je le voie, que je sache où tous ces troubles vont me mener. Il vient le samedi suivant mon retour. Il travaille, je suis debout derrière lui. J’ai une folle envie de lui passer la main dans les cheveux, de sentir leur texture, de le caresser comme jamais je n’ai pu le faire. Mon éducation me tiraille et comme si une force extérieure m’y poussait, comme si un aimant m’y attirait, ma main se pose sur le haut de sa nuque, d’abord en prétextant lui enlever une peluche et puis s’attarde enfin en le caressant. Je prends conscience de mon geste et j’apprécie pleinement qu’il se laisse faire. Tout s’arrête là jusqu’à la semaine suivante. Mon envie est grandissante, je dois me concentrer pour ne pas me laisser déborder par ce nouveau sentiment. La fois suivante, je me place à nouveau derrière lui et recommence à lui caresser la nuque, il a l’air d’apprécier et là il dépose sa tête contre ma poitrine, mon cœur s’emballe à me faire mal aux tempes, je commence à ouvrir doucement les premiers boutons de sa chemise et y glisse la main. Je découvre ses pectoraux sous mes caresses. Nous en ...