Le copain de classe (2) - Histoires de Sexe

Le copain de classe (2)

... visiblement. Nous rangeons nos affaires, et je me dirige vers le bureau du professeur pour discuter avec lui, histoire de faire passer cette excitation. Tous les élèves sortent (et rentrent chez eux), seul Cyril est encore dans la salle, il range lentement ses affaires et le matériel non rangé par nos camarades. Puis il sort. Ces 5min avec le prof m’auront permis de ne pas crever de désir pour lui ! Je salue mon professeur et pars. À peine sortie, une main m’agrippe le bras et me dirige vers les toilettes. Cyril marche devant moi en me tenant, il est déterminé et entre dans les toilettes des filles. Nous rentrons dans une cabine, il ferme la porte, tourne le verrou, pose son sac, se retourne et me regarde dans les yeux. Je n’en peux plus. Il m’embrasse. Nous passons 5min à jouer avec nos lèvres et nos langues. Puis il me caresse et sa main descend lentement vers ma cuisse, il remonte ensuite vers ma petite chatte trempée de désir. Il décale mon string et insère un doigt, qui me fait frémir, puis deux. Il me fouille l’intérieur pendant un bon moment, ce qui me fait gémir. Puis il sort ses doigts et joue avec mon clitoris. Avec la tension précédente il ne faudra pas longtemps avant de jouir. Justement, je sens que ça monte... ça monte... ça vient... Et... Et au moment fatidique, un groupe de filles entre dans les toilettes. Cyril se fige. Elles discutent et ne font pas attention aux bruits suspects venant de notre cabine. Je me mets mes mains devant ma bouche pour couvrir les ...

... sons et ma respiration, et regarde Cyril, lui faisant "non" de la tête, pour qu’il ne me fasse pas jouir maintenant. Il sourit puis active ses doigts plus vite. Je n’en peux plus et j’explose ! Je retiens au maximum le son de ma voix, seul un souffle fort s’échappe de mes mains. Les filles s’arrêtent un instant de discuter. Puis elles reprennent et s’en vont. Nous rigolons avec Cyril. pdxpvvuf "- Tu es fou ! On aurait pu être grillés ! — Et alors, tu as honte ? — Pas de toi non, mais je ne veux pas que ce qu’on vient de faire ici se sache partout, ça va faire mauvais genre ! — Parce que tu crois qu’on est les seuls à l’avoir fait ? dit-il en rigolant — Non mais... Rooo tu le fais exprès ! Tu as très bien compris ce que je voulais dire !" Nous rigolons de bon cœur, mais pas trop fort, on est quand même dans les toilettes de l’IUT ! Je lui dis qu’il faut que je m’essuie tout ce désir liquide qui s’écoule de moi. Il me dit qu’il doit partir, sa mère sort de l’hôpital. "- Rien de grave j’espère ? — Non, du tout, mais je voudrais rentrer pas trop tard. Histoire de... Pour le principe. Je te laisse avec le fleuve sur tes jambes ! À demain matin ma belle !" Puis il m’embrasse tendrement et passionnément et s’en va. À demain... beau brun. En sortant des toilettes, je croise le groupe de filles qui y est passé tout à l’heure. Elles me regardent sortir et gloussent, sans méchanceté dans leurs regards. Je souris aussi et rentre chez moi. Le soir, je me suis masturbée en pensant à mon ...