1. Comment tout a commencé...


    Datte: 01/11/2017, Catégories: f, h, Collègues / Travail grosseins, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation nopéné, jeu, aliments,

    ... plus Mélanie, en dehors du cadre professionnel. Cet espoir fut un peu abandonné quand, au fur et a mesure de mes soirées et weekends de travaux, je ne vis Mélanie qu’une ou deux fois. Elle finissait assez tard les soirs, et quand elle ne travaillait pas elle préférait faire du shopping plutôt que du béton… Mais ça ne m’empêchait malheureusement pas de fantasmer sur elle et (je l’avoue) sur ses gros seins. Elle était toujours d’allure très féminine, mais toujours en pull et pantalon, sans vraiment d’originalité. C’est d’ailleurs de ce détail que tout a démarré… Invité un soir, je venais (pour une fois) juste pour le repas et non pas pour empiler des briques ou couler une chape… Ravi à l’idée de passer une bonne soirée en la compagnie de la douce Mélanie et bien sûr de Bernard, je me présentai à l’heure prévue avec une bouteille de vin blanc. Quelle ne fut pas ma surprise de voir la porte s’entrouvrir sur une Mélanie encore plus belle que d’habitude… mais en chemise et en minijupe ! Je vous avoue que mon sang n’a fait qu’un tour et que je suis resté quelques secondes la bouche ouverte comme un idiot, à ne pas savoir quoi dire. Amusée, Mélanie me fit entrer, et au moment où je me penchais pour lui faire la bise, je ne pus poser mes yeux ailleurs que dans son décolleté. Sa chemise était ouverte sur trois boutons et j’avais une vision merveilleuse sur la naissance de ses seins, qui tenaient dans un soutien-gorge rouge prêt à exploser. Mélanie remarqua mon trouble (je devais être ...
    ... rouge pivoine) et me fit un petit sourire en coin. Pas le sourire gêné qui indique qu’elle a vu que je regardais et que ça la flatte, mais un sourire assuré, qui m’a fait comprendre que je voyais exactement ce qu’elle voulait que je voie. Quelques minutes après, Bernard descendit de l’étage où il rangeait quelques outils, pour me serrer la main et me pria de m’asseoir, pour entamer l’apéritif. Le salon était assez petit car rempli de cartons, d’outils divers et de matériaux, ce qui fait qu’ils n’avaient pu y caser qu’une table basse et trois fauteuils. Mélanie s’assit donc en face de moi, jambes croisées et décolleté plongeant dans mon champ visuel. Troublé, j’essayai de ne pas trop la regarder mais il m’était impossible de ne pas poser un œil sur ses jambes gainées de noir, en me demandant si c’était des bas ou un collant, ou sur ses seins magnifiques qui ne demandaient qu’à sortir du chemisier. Je me demandais aussi si sa culotte était assortie à son soutien-gorge rouge, et laissais un peu mon esprit divaguer… Chaque fois qu’elle se penchait pour prendre son verre, ses seins penchés en avant, je n’arrivais pas à éviter d’y plonger le regard. Et tout de suite après je jetais un œil du côté de Bernard, pour voir s’il ne m’avait pas surpris en flagrant délit de reluquage… Mais chaque fois, il regardait ailleurs, ou alors faisait semblant de ne pas voir. Le repas suivit tranquillement l’apéro. Nous parlions de tout et de rien, du travail, de la maison et du beau temps. Chaque ...
«1234...7»