1. Moi, Pro-Fesseur honoris fessa, épisode 1


    Datte: 01/04/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Première fois

    Quand elle est arrivée chez moi, elle savait exactement ce qui l’attendait, deux jours entiers à mon unique service. Deux jours pendant lesquels, je pouvais donner libre cours sur elle et son corps. La règle était simple : Aucune limite dans sa soumission totale.On s’est rencontré un peu par hasard, par l’intermédiaire de ma sœur. Un petit souper entre ami, elle était là, pas un canon de beauté, rien à voir avec ce qu’on veut nous faire voir de la femme. Somme toute, elle était très banale, tout comme moi. Cela étant, la banalité cache très souvent un autre personnage, ce qui était notre cas à tous les deux. C’est sur le balcon que le sujet est venu sur la table, avec le récit de l’un des amis de ma sœur. Il nous racontait avoir fessé cruellement sa femme et s’étonnait qu’elle demande le divorce. Vu la manière dont il faisait le récit de cette fessée, avec mon expérience, je n’ai pu qu’approuver la demande de divorce formulée par sa future ex-épouse. Il n’était pas content jusqu’à ce que je lui explique en quelques mots le pourquoi de mon approbation.- Tu vois Jérôme, quand on veut jouer au SM, il y a quelques petites règles à suivre dont celle-ci, qu'il faut absolument suivre impérativement et qui dit que le soumis, peu importe son sexe, domine toujours le Maître au moment du plaisir. Cela étant, si ta femme était ta soumise, ce qui me ne semble visiblement pas être le cas, elle aimerait jouir en étant fessée avec ce petit plus savamment dosé que l’emmènerait vers la ...
    ... jouissance. Dans votre cas, elle n’a vraiment pas aimé. Y a qu’à voir son visage sur cette photo que tu nous as montré avec ton air moqueur. Dans le cas contraire, en tant que soumise, si c’était une punition et non le jeu, elle n’aurait jamais divorcé car elle se savait être en faute, ce qui justifiait cette fessée. Quoi que pour moi, beaucoup trop sévère, la connaissant. C’est tout un art, le SM. Il ne suffit pas de fesser cruellement son conjoint pour en faire son soumis ou son esclave. Dans mon cas, en tant que dominant, je suis plus souvent l’esclave des fantasmes de celles qui viennent chez moi. Mon plaisir, je peux bien le prendre pendant que je punis. Mais vois-tu, ce qui m’intéresse le plus, c’est de pousser, de repousser le limites de mes clientes, les faire jouir dans leur soumission, pendant que je les supplicie ou après, en guise de récompense. Ok, elle m’abandonne leur corps afin de servir mes perversités, leurs fantasmes. Là encore, je ne jouis d’elle que sur un consentement mutuel. Maintenant, admettons, que vous, mademoiselle, admettons que vous soyez ma soumise, une soumise de tous les instants. Je suis en droit de vous punir à la moindre faute sans que je vous laisse la moindre chose de jouir. Par contre, il est fort probable que dans nos jeux, pendant que j’use et abuse de vous, vous soyez amenée à jouir et pour notre joie à tous les deux. Non, tu vois mon vieux Jérôme, tu n’as jamais eu l’âme d’un dominateur. T’es tout juste un de ces mecs qui prend son pied en ...
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