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Rencontre et expériences
Datte: 01/04/2021, Catégories: fh, hh, fhh, telnet, photofilm, Oral pénétratio, fdanus, hdanus, hsodo, couple+h,
... et un peu âcre. Je le dégustai longuement, attendant la détumescence totale de ce sucre d’orge si particulier. Je « libérai » Gilles. Savourai encore sa généreuse libation. Sophie me sourit, son regard troublé par le plaisir qui naissait sous ses doigts. Je me mis à genoux devant elle et l’embrassais. La léchais, la goûtais. Ses doigts et ma langue se croisaient, se frôlaient, se touchaient. Pendant un court, bien trop court instant, Sophie planqua mon visage contre son sexe. Puis elle me dit : — Laisse ta place à Gilles. Celui-ci ne se fit pas prier. Cette fois c’est donc moi qui jouais les voyeurs. Même si je ne voyais pas grand-chose tant Gilles était collé à Sophie. Lèvres contre lèvres, serais-je tenté de dire. Sophie appréciait, ses gémissements ne laissaient aucun doute à ce sujet. Machinalement, je me caressais doucement en les regardant. Puis ma belle capta mon regard, me désigna des yeux les fesses de Gilles. Elles étaient offertes. Et moi qui croyais que Sophie avait renoncé à nous diriger. Elle poursuivait sa mise en scène et nous étions toujours sous son contrôle. Mais pas une seule seconde, je ne songeai à m’en plaindre. J’enfilai donc un joli préservatif goût fraise et m’emparai du tube de lubrifiant posé à côté de moi. Gilles avait tout prévu. Il sursauta un peu lorsque le gel froid le toucha. Mais bien vite je me chargeais de le réchauffer. Mes précédentes intrusions l’avaient déjà bien préparé et je ne tardais pas à faire coulisser mes doigts en lui. La ...
... réaction ne se fit pas attendre et il reprit rapidement de la vigueur. — Prends-le ! Je veux vous voir ! Sophie avait du mal à parler. Je la voyais se crisper, ses mains enserraient les bras du fauteuil. Et je savais ce qu’elle attendait pour se laisser aller. Alors pourquoi lui refuser ce plaisir ? Je pénétrai Gilles lentement, mais d’un seul mouvement. Il soupira d’aise. Mes doigts vinrent emprisonner sa queue redevenue dure et je le caressais doucement. Il se redressa, abandonnant ses jeux de langue. Il voulait se donner en spectacle, que Sophie ne rate rien de se qui allait suivre. Ses cuisses s’appuyèrent sur les miennes, ses fesses contre mon ventre. J’étais presque condamné à l’immobilité. Seules mes mains pouvaient bouger et je comptais bien en profiter. Nous regardions tous les deux Sophie qui avait de nouveau posé ses mains sur son sexe. Nous restâmes quelques instants ainsi, figés et prêts à nous lancer à l’assaut du septième ciel. Ce fut Gilles qui bougea le premier, en entamant un lent va-et-vient. Je le pénétrais mais c’est lui qui me faisait l’amour. Le terme me parut bien choisi. Même s’il ne s’agissait que de plaisir et de sexe, nous faisions l’amour et partagions un moment unique. Sophie reprit aussi ses douces caresses pendant que je cajolais Gilles. Notre trio passa petit à petit du lento à l’adagio puis à l’allegro. Gilles s’empalait sur moi et j’avais fait de mes mains un écrin qui enveloppait sa longue tige. Même si j’étais entré facilement en lui Gilles ...