Rencontre et expériences
Datte: 01/04/2021,
Catégories:
fh,
hh,
fhh,
telnet,
photofilm,
Oral
pénétratio,
fdanus,
hdanus,
hsodo,
couple+h,
... à ses côtés pour l’embrasser. La nuit ne faisait que commencer. Mes doigts glissaient doucement sur son corps, l’un virevoltant sur une aréole, d’autres fourrageant dans sa toison. Petit à petit elle revint à la vie. Me prit entre ses doigts, me caressant presque distraitement — Viens, me dit-elle. Comment ne pas obéir à une telle demande ? Je me plaçai sur elle sans qu’elle me lâche et c’est elle qui m’introduisit en elle. Je me laissais guider, étonné qu’elle prenne autant d’initiatives, ce qui n’était pas dans ses habitudes. Elle était brûlante, trempée. Je m’enfonçais lentement, pour ne pas briser ce moment de désir presque pur. Rien ne comptait que ce plaisir que nous allions partager. Je lui fis l’amour doucement, ne cessant de la caresser et de l’embrasser. Elle avait posé ses mains dans mon dos, au creux de mes reins, m’invitant à rester en elle. Je donnai plus d’ampleur à mes mouvements, et ses mains se crispèrent dans mon dos. Ma bouche se fixa sur un mamelon durci par le plaisir. Je le mordillais, le serrais entre mes lèvres. Ses ongles m’égratignaient. Nos besoins de tendresse firent place à une envie de plaisir et nous ondulions en rythme, nos bassins s’unissant et se séparant de plus en plus vite. Ses ongles me griffèrent lorsque me reculant un peu, je fis mine de sortir. Pour mieux replonger. Je la regardais dans la pénombre, scrutant sur son visage la montée du plaisir. Ses lèvres se serraient, ne laissant échapper que quelques gémissements comme pour ...
... retarder l’inéluctable. Je ralentis un peu mes mouvements, me penchai dans son cou. — Je t’aime et je te désire.— Alors viens je suis à toi. J’attrapai ses poignets et lui écartai les bras, en croix, en travers du lit. Nous étions presque désunis, et m’étant redressé je la dominais. Son ventre cherchait le mien et je me dérobais. Puis d’une seule poussée je m’enfonçai en elle. — Maintenant tu es à moi. Ce fut pourtant elle qui m’emprisonna avec ses jambes. Et ce fut elle aussi qui nous libéra en nous projetant dans le plaisir. Le lendemain matin, après m’avoir embrassé au réveil elle me dit, tout doucement : — Tu lui demanderas une photo ? Je ne pus m’empêcher de sourire. — C’est déjà fait, on doit se retrouver sur soir sur le net pour qu’il l’envoie. La journée fut longue, je me demandais avec anxiété si Gilles nous plairait. Je m’interrogeais aussi sur ce qui se passerait une fois que nous serions tous les trois. Ayant déjà fait quelques rencontres cybernétiques je savais que rien ne se passait comme prévu. Entre des fantasmes écrits via minitel ou internet et la réalité il y a souvent un monde d’écart. Parce que l’on est tendu, parce qu’il reste délicat de sauter sur un parfait inconnu, parce qu’un brin d’appréhension n’est pas forcément un excellent aphrodisiaque. Et il y avait toujours le risque que Gilles se révèle être un gros rustre malgré la courtoisie qu’il affichait lors de notre premier bavardage. Le soir lorsque Sophie rentra, nous évitâmes tous les deux de parler de ce ...