Le goût du jeu
Datte: 01/04/2021,
Catégories:
2couples,
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... plaisir et douleur. Constater ce plaisir augmente furieusement le mien. J’appuie mes coups de cravache un peu plus à chaque fois. Ses fesses deviennent d’un beau rouge, ce qui – je ne saurais pas expliquer pourquoi – attise mes sens. Je me sens ruisselante. Jamais je n’aurais pensé un jour prendre du plaisir ainsi. C’est étrange ; c’est si transgressif, si intense… Comment résister à un tel appel ? Je poursuis mon œuvre pendant que Sandrine, elle aussi, paraît être dans un état second. Jean-Philippe gémit sous les lanières. Les gémissements des deux soumis viennent s’enchevêtrer les uns aux autres, délivrant une étrange mélodie fascinante. Comme deux allumées, nous les fouettons en prenant un plaisir pervers, mais tellement fort. Nos soumis semblent eux aussi en transe. Ils en redemandent. Après quelques instants passés à les cravacher et les fouetter : — Bon, ça devrait suffire… dit Sandrine un peu essoufflée.— Oui, ils ont le cul bien rouge tous les deux. C’est le moins qu’on puisse dire ! dis-je, satisfaite. Je fouille dans le sac que nous avons apporté pour prendre le tube de crème apaisante. J’en verse un peu sur mes doigts et enduis les fesses couleur vermillon de Marc. Sandrine fait de même et vient calmer le feu des fesses de son soumis. Au passage de la crème, les deux hommes expriment leur bien être par des « Hum ! C’est délicieux… » Je m’essuie les mains et m’aventure à glisser ma main dans mon string en latex. Mon sexe est trempé. Je ruisselle littéralement. J’en ...
... ressens presque une honte de prendre autant de plaisir avec des jeux aussi interdits, mais je m’en fiche.« C’est bon ; c’est partagé. Alors pourquoi se priver au titre d’une morale inepte ? » me dis-je intérieurement. Je retourne vers notre sac à malices pour attraper l’appareil photo, deux flacons de lubrifiant ainsi que des gants en latex. Je me mets à bonne distance et photographie sous toutes les coutures nos deux petites salopes, si belles ainsi avec les fesses rosies. — Alors, Anne, passons-nous à la suite ? dit Sandrine très excitée elle aussi.— Oui, allongeons-les sur les tables et nous allons nous occuper de leurs queues ! Je ne sais pas pour toi, mais moi j’ai une envie incroyable de sucer de la bite !— Je te comprends, tu sais ! Je ne pense qu’à ça aussi ; allons-y ! réplique Sandrine avec gourmandise. Chacune détache les liens et dirige son soumis vers l’une des deux tables. De bonne grâce, ils s’allongent, reposent leur tête sur l’oreiller fixé sur la table. Je place à côté de chacun d’eux les flacons et les gants en latex afin qu’ils puissent accroître leurs sensations. Sandrine saisit un pied de sa petite salope, l’attache dans l’étrier, et rapidement opère de la même façon avec l’autre pied. Je m’empresse de faire la même chose avec Marc. Ils sont superbes, ainsi offerts, leur queue pointant vers le haut. N’y tenant plus, je prends le sexe raidi de Marc et me le plonge au fond de la bouche. Ma gourmandise est encore plus forte que d’habitude. Je suce tout son ...