Le goût du jeu
Datte: 01/04/2021,
Catégories:
2couples,
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... revenue. Elle est là debout derrière moi et n’a visiblement rien laissé échapper de la scène. En silence, Marc lui abandonne sa place. Elle s’installe confortablement, et comme Anne juste avant, positionne ses pieds sur le bord du canapé tout en écartant largement ses jambes. Je m’agenouille, approche mon visage de sa toison blonde, bouclée et drue. Quelques perles de rosée sont visibles sur ses poils, je devine maintenant ce que Maîtresse Anne lui a glissé à l’oreille tout à l’heure. La petite vicieuse ne s’est pas essuyée après son pipi réparateur. Hum, quelle délicate attention ! Je m’empresse de passer ma langue et de venir sentir sans vergogne ce petit cadeau si gentiment offert. Mon excitation est au point de rupture, aussi je chasse de mon esprit toutes les pensées qui pourraient me provoquer une éjaculation si malvenue à cet instant. Je m’active et commence un ballet de caresses sur cette si belle chatte mouillée. Ses lèvres sont plus grosses que celles d’Anne. Son odeur est intense, ce doux mélange de pipi et de jus d’amour m’enivre. Je lape, je titille, j’aspire et sans relâche j’attise le désir de cette Maîtresse gourmande. Je lui relève les jambes, je viens passer ma langue sur sa petite rosette fripée et darde la pointe de ma langue en elle. Sandrine m’encourage par un : — Hum ! Oui… Je poursuis ma canaillerie encore un peu, puis je repose ses pieds sur le bord pour à nouveau enfoncer ma langue dans sa grotte de plaisir. Elle mouille, que dis-je, elle ...
... ruisselle ! Je torture et je presse son petit clitoris proéminent. Je l’aspire, le mordille délicatement. Les petits cris que Sandrine pousse augmentent encore plus mon envie de jouir. Elle me saisit la tête et me plaque contre sa chatte. Je ne peux plus respirer ; il va falloir qu’elle jouisse vite sinon elle va m’étouffer. J’accélère le mouvement, ma langue commence à me faire mal tellement la pression est forte. Sans mollir je continue, lorsque soudain Sandrine pousse un cri. Elle jouit ! Un énorme jet vient s’écraser sur mon visage, suivi par plusieurs autres tout autant abondants. Elle me couvre littéralement de son jus. Je cherche à recueillir à la volée cette liqueur d’amour pour m’en régaler. L’orgasme se prolonge, elle se masturbe, se martyrise le clitoris tout en se tapotant le pubis. D’autres jets giclent, m’inondent le visage et le torse.« Ouah ! Quel bel orgasme ! » me dis-je. Son corps se détend ; elle s’affaisse, repue, satisfaite maintenant que toutes ses tensions se sont relâchées. Le visage et le torse trempés, je me relève. Ma queue est dressée. Je me masturbe en me tournant vers tous mes partenaires. Je passe ma main sous mes couilles. Je les regarde droit dans les yeux avec insolence. Le plaisir de m’exhiber ainsi ne tarde pas à produire la jouissance tant attendue. J’explose. Mon sperme atterrit sur les cuisses de Maîtresse Sandrine. Plusieurs secousses se succèdent, me font trembler de tout mon être. Les jets n’en finissent plus de gicler. Anéanti, détruit et ...