Le goût du jeu
Datte: 01/04/2021,
Catégories:
2couples,
fbi,
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odeurs,
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Oral
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... pointer sa langue dans mon œillet. J’aime me sentir ainsi exposé et caressé. Je relève la tête. Chacune debout d’un côté du matelas, les deux Maîtresses profitent de la scène que nous offrons. Marc prolonge cet anulingus pour mon plus grand bonheur. Mon sexe retrouve sa vigueur et mes pensées se focalisent sur le moment où il va m’ouvrir en douceur. Une sensation de fraîcheur vient remplacer la chaleur humide de la langue de Marc. Il étale avec délicatesse le lubrifiant et débute un massage délicieux. Au fil des rotations agréables, mon orifice devient plus sociable et n’attend que le premier doigt de Marc pour s’ouvrir aux autres. Mon vœu est vite récompensé. Marc enfonce tout doucement une phalange, puis devant la souplesse de son hôte, entreprend une visite approfondie des lieux. Cette intrusion me fait frissonner. Je cherche à me détendre plus encore et je pousse pour faciliter l’œuvre de Marc. Il s’en rend compte et vient flatter mon sexe érigé tout en poursuivant la pénétration de son doigt. Le rythme de la rotation augmente et mon petit trou est complètement ouvert. Marc profite pour enfoncer d’autres doigts qui se frayent sans peine un passage. Je rêve déjà de sentir toute sa main en moi. Je sais bien que je ne peux pas recevoir autant, faute d’entraînement, mais le désir d’y parvenir est très intense. — Maîtresse ! Il est prêt, dit-il en abandonnant mon petit cul. Comme hypnotisé, je regarde Maîtresse Sandrine enfiler la culotte en latex noir. Elle s’introduit sans ...
... difficulté dans le vagin le membre situé à l’intérieur de l’accessoire et s’équipe pour se transformer provisoirement en homme. Sans me quitter des yeux, elle saisit le gode qui darde devant elle et fait mine de le masturber. Son regard brillant lance des éclairs de désir. Elle est habitée par son personnage de dominatrice ; je sais que je vais me faire baiser, et cette idée m’enflamme. Elle passe derrière moi, s’agenouille ; très vite, le membre effleure mon cul offert. Les mains de Sandrine écartent mes fesses pendant que le bout du gode cherche son chemin vers mon anus. Elle s’enfonce doucement, me laisse le temps de m’habituer, puis inexorablement plonge dans mes entrailles. Parvenue au fond de moi, je sens la chaleur de ses cuisses contre mes fesses. Elle reste immobile, comme pour montrer que les lieux lui appartiennent. Lentement, elle se retire, puis revient dans mon anus béant. Elle renouvelle cela plusieurs fois pour mon plus grand bonheur, et finalement sort totalement de moi. J’en éprouve une sensation de vide, d’abandon : — Non, encore… dis-je sans réfléchir, sans penser à l’image que je renvoie à cet instant en me laissant ainsi aller.— Quelle chienne ! dit-elle.— Tu aimes ça, salope ! Avoue-le ! reprend-elle. Devant mon obstination à ne pas répondre, elle me claque les fesses et m’ordonne de lui répondre. — Alors ! Dis que tu aimes être une salope ! Dis que tu aimes te faire baiser comme une chienne !— Oui, Maîtresse !— Mieux que ça ! Comme un automate, j’avoue ...