Pouilleux dérapeur
Datte: 02/04/2021,
Catégories:
fh,
copains,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
pied,
Oral
pénétratio,
jeu,
jeux,
... demande, Guillaume se redresse et remonte son visage le long de mon ventre, depuis mon sexe jusqu’à ma bouche. Je l’embrasse et je découvre l’odeur et le goût de ma chatte. J’aimerais connaître celui de sa queue, mais je préfère encore davantage la sentir à l’intérieur de moi, remplir mon sexe. Je la sens appuyée contre mon vagin. Guillaume frotte son sexe contre mes petites lèvres, qui ne demandent qu’à s’ouvrir largement. C’est une torture. Je suis tellement trempée qu’un seul petit mouvement vers le bas de mon bassin et il me pénètrera jusqu’au bout. II va le faire, je le sens… Oh ! Ça y est ! On pousse un cri tous les deux en même temps. Il va-et-vient doucement, pour commencer. Puis se retire pour voir comment je réagis. — Oh noooon… À nouveau, il me pénètre très doucement et je pousse un gémissement de soulagement, en crispant mes mains sur ses fesses. Je sens sa queue, chaude, à l’intérieur de moi et je n’ai jamais rien senti de pareil. Il me remplit complètement. Il recommence doucement à aller et venir, et tous les deux nous regardons les mouvements de nos bassins. Il a replié ...
... mes bras au-dessus de mon visage et appuyé ses mains sur les miennes. Il a l’air fasciné. Oh, j’aime tellement qu’il me regarde, et ce qu’il est en train de me faire ! Le rythme de ses coups s’accélère maintenant. Je bouge aussi mes fesses, pour mieux le sentir. — Christelle, doucement, je t’en supplie, tu vas me faire jouir. Je ne veux pas qu’il se retienne, je veux l’entendre crier, je veux voir le plaisir que je lui donne. Je sens déjà quelque chose vibrer dans son sexe et je glisse une main entre nous pour aller caresser ses couilles. Je les prends à pleine main et deux secondes après, je l’entends crier « Christelle ! » à mon oreille et je sens un long jet tiède dans le bas de mon ventre. Puis une deuxième secousse, suivie aussitôt d’une troisième. Je m’entends pousser à mon tour de petits cris, qui deviennent de plus en plus forts. Et puis, j’ai comme un flash et je crie son prénom à mon tour. Parcourue de spasmes, je me retiens de lui dire que je l’aime. Une autre fois, peut-être. J’ai l’impression de perdre connaissance. Je cesse de penser et je le serre très fort dans mes bras.