Lucie et Valérie s'éclipsent pour un nouveau moment torride
Datte: 02/04/2021,
Catégories:
ff,
Inceste / Tabou
fête,
... mouvements de son bassin, ma langue fichée entre les plis de son anus. Lucie reprit lentement son souffle, se retourna et me fit relever. Les yeux brillants, les joues rouges, le plaisir avait laissé des traces sur son beau visage. Doucement, elle m’embrassa et me fit allonger sur le lit ; devant son air décidé, je me laissai guider. Pour m’offrir complètement, je repliai les jambes, exhibant ainsi totalement mon intimité. Telle une maîtresse soumise, elle prit place à mes pieds, me regardant comme jamais personne ne l’avait fait, pas même Julietta. Je pris conscience que la belle avait une chose importante à dire. — Tu as réveillé de vieux démons en moi, ce week-end, commença-t-elle. Devant mon silence, elle poursuivit : — Il y a quelques années, au début de mon mariage, j’ai rencontré au travail une commerciale belle comme une déesse. Je n’avais aucune expérience entre femmes mais elle me troublait et m’a draguée subtilement, lentement, et un jour j’ai craqué. Je l’ai rejointe chez elle un après-midi, prétextant une réunion de dernière minute à Thierry. Et Nathalie m’a fait découvrir un monde que je n’imaginais pas. Le moment était du coup solennel, en totale contradiction avec la folie de nos corps il y a si peu de temps. Lucie était émue aux larmes et poursuivit : — Notre liaison a duré des mois, d’abord secrète, puis compliquée quand Thierry l’a apprise par une collègue jalouse. Ce furent des semaines horribles de déchirements entre elle et lui, dans mon cœur. Et j’ai ...
... dû choisir lequel de mes amours souffrirait le moins, car tout le monde souffre dans ces cas-là. Cette fois, les larmes coulaient pour de bon sur ses joues. — Nathalie a quitté la France et je n’ai plus eu de nouvelles. J’avais juré à Thierry de ne jamais recommencer et tu es arrivée. Oh, je ne te reproche rien ! J’aurais pu changer de place hier soir et on en serait resté là. Mais j’en avais aussi envie que toi. Lentement, sa main remonta vers mon genou tandis qu’elle poursuivait. — Je veux encore faire l’amour ce matin avec toi ! Mais ce sera la dernière fois. Je te demande de ne jamais me recontacter, pour laisser mes démons en paix. Jure-le-moi, s’il te plaît.— Je te le jure ! Apaisée, elle se redressa et s’allongea sur moi. Nos bouches se joignirent pour un baiser plein de tendresse, ses larmes donnant un goût salé à notre étreinte. Lucie se plaquait à moi avec une force trahissant son désespoir. Ses caresses me firent bientôt oublier la tristesse de ses paroles récentes, et lentement je me laissai aller. Lucie se fit plus brusque, se comportant presque comme un homme pressé. Sa bouche pinçait ma peau, faisant fi du risque de laisser des traces. Mes seins étaient plus malaxés que caressés mais, malgré tout, mon excitation était bien réelle et peut-être même exacerbée. Je me sentais ouverte comme si un pénis allait me pénétrer et, excitée par cette image, je pris la main de Lucie pour la plaquer sur ma vulve. Elle gémit et me pénétra de trois doigts directement. Mon vagin ...